Nom : Degrin Arckolimbdor (Degrin pour les intimes)
Prénom : Firfyn
Age : 23 ans
Sexe : M
Date de naissance : 15 juin 230
Nation d'origine : Range Harbor
Caste : Alchimiste
Classe : Transmutateur
Lieu de résidence à Range Harbor (nom du quartier) : Alestra
Métier / Rang Social :
Je suis dans une famille riche et ne nécessite donc pas forcément d'argent ou de quelconque rémunération. D'autant plus que je suis encore jeune et que je vis encore das la maison familiale. Ma mère ayant préféré me faire l'école plutôt que de me laisser aller à l'école, ma situation sociale n'est pas très dévelloppée et assez maladroite. Je suis toutefois dans une famille riche avec de bonnes relations, il m'arrive donc de voir des personnes du gouvernemen entrer chez moi et y passer des dîners ou encore des entretiens avec mon père.
Description physique :
Je suis un halfelin en fin de croissance, d'une belle taille pour ma race, je suis d'une taille moyenne dans la foule. Surmonté de ses chaussures en cuir, d'un pantalon d'un beau tissu (dont j'ignore le nom et qu'il m'est égal de connaître) bouclé d'une ceinture assez banale. Sur mes épaules reposent quelques couches de vêtement que je déteste porter mais que ma mère me force à porter les jours où l'on accueille du monde. Mais j'avoue aimer porter des vêtements usés, des chaussures souples et salissables lorsque je le peux. Mon visage, assez féminin finalement se voit comporter une bouche aiguisée à ses bords, au-dessus d'elle, un nez assez pointu et plongeant. Aux côtés de celui-ci se trouvent deux yeux rougis légèrement couverts par mes cheveux. Des cheveux verts
Description psychologique / caractère :
Je suis originaire d'une famille riche grâce à mon père qui rapporte beaucoup d'argent à la maison. Ma mère ayant préféré me faire les cours plutôt que de m'envoyer à l'école, je n'ai pas vraiment pas beaucoup d'amis et n'est pas très débrouillard dans la relation avec les gens. Étant de nature plutôt curieuse, il m'arrive de prendre des risques inutiles. Ma mémoire pourrait être qualifiée de sélective : il m'arrive "d'oublier" ou tout simplement de ne pas faire attention à certaines choses que je juge sans intérêt. J n'aime pas les longs discours explicatifs se voulant être convaincants, persuasifs et véridicts, mais pourtant très hypocrites et n'ayant que pour arrière-pensée que l'appât du gain. J'aime les gens honnêtes et très concrets qui ne parlent pas pour ne rien dire, mais qui dise ce qu'ils pensent vraiment. J'aime les courtes phrases claires et nettes sans ambiguitées ou le sens ne peut être caché.
Aptitudes / Points forts - Limites / Points faibles :
Etant donné ma race, on pourrais dire que mon point faible serait ma taille. Etant très couvé par ma mère, je n'ai jamais eu de rapport sociaux ce qui implique des rapports sociaux "awkward". Par ce biais-la je n'ai jamais vraiment su me battre dans la rue, mais ait appris à me servir d'un pistolet lors de chasse ou d'attractions de tire à la carabine. Je m'avoue pluôt bon pour l'équitation. Ma mère ayant fait des études avancées, et étant éduqué par celle-ci, j'ai un meilleur niveau scolaire que les élèves de mon âge.
Histoire :
[nuit du 15 juin..]
Je suis né il y a 23 ans, jour pour jour. Il est très tôt, il fait encore nuit dehors et je n'arrive pas à me rendormir. N'arrivant non plus à me décider à sortir de mon lit. Je crois que j'ai cette sorte de maladie inexplicable qui nous empêche de dormir lorsque nous sommes stressés. Effectivement, je crois que cette anniversaire est une des choses les plus importantes qui ne me soient jamais arrivé. C'est aujourd'hui que l'on me décernera un autre tatouage, ce seras un grand événement, c'est ce que me racontait mon père. Me décidant enfin à sortir de mon lit, je traverse ma chambre et regarde par la fenêtre, m'appuyant contre le cadrant, je regarde le jardin où j'ai passé la plus grande partie de mon enfance. Tout ces moments de liberté, d'oisiverie. Je me vois encore en train de chasser les papillons ou encore d'attraper les lézards par la queue en les regarder se tortiller *soupir*. Cette époque est révolue.. Je devrais maintenant sortir de cette maison et me trouver un logement dans la capitale avec un travail pour survivre. Me laissant glisser du cadran de la fenêtre, je sort de mes songes ainsi que de ma chambre. N'ayant rien à faire de si bonne heure dans cette immense maison vide, je me dirige vers la cuisine dans le but de me restaurer. Sur le chemin de la cuisine, je passe devant la porte du bureau de mon père. Une grande porte en bois massif verrouillée. C'est grâce à lui et à son métier de philosophe que notre famille est aussi riche, c'est aussi pour cela que je suis Transmutateur. Revenons-en au bureau.. Je n'y suis rentré qu'une seule fois; je devais avoir quelque chose comme 7 ans. Mon père l'avait laissée entre-ouverte et j'avais pût me faufiler sans un bruit dans son sanctuaire pour satisfaire ma curiosité. J'admirais alors cette grande salle, où les murs étaient tapissées d'étagères elle-mêmes remplies de livres cornés en différentes dialectes. Cette salle renfermait une odeur très particulière: Une odeur que je ne saurais expliquer, mais qui était très agréable.Cette salle représentait parfaitement le caractère de mon père : assez sombre, assez fermée, assez discrète bien que truffée de choses intéressantes et certainement passionnantes. Je ne vois mon père que très rarement, toute la journée, il court après les clients et les soir, à peine la porte d'entrée ouverte, mon père s'est déjà glissé dans son bureau ou il étudie jusqu'à des heures qui me montent à la tête - Es-ce cela que la vie adulte? Courir après l'argent pour finir sa journée plongé dans les bouquins ? Et le plaisir de vivre... - l'avenir m'angoisse..
Je parcours la maison jusqu'à la cuisine, et aperçoit alors ma mère assise sur un banc en bois, dégustant son petit-déjeuner. Une boniche m'installe sur un siège en face de ma mère et me demande ce que je voudrais manger ce matin tout en me glissant un "bon anniversaire" au coin de l'oreille *esquisse un sourire*.
-Je n'ai pas très faim pour le moment. Je me servirai quand la faim me viendra, merci. lui répondis-je.
Je tournai maintenant la tête pour faire face à ma mère et c'est alors que, je sombrais encore une fois dans mes rêveries.. Je me rappelais alors de tout les moments que j'avais eus avec ma mère. Ils étaient beaucoup plus nombreux et motifs que ceux avec mon père, c'était bizarre de revoir tout ça. Je me rappelais de tout les cours que me donnais ma mère durant des après-midi entières. Elle avait décidé d'être mon professeur particulier. Ma vie était essentiellement tournée autour de ma mère.
C'est alors que ma mère pris ma main ce qui me fît tressaillir.
- Tu veux retourner te coucher mon chéri ? Tu n'as pas l'air en forme et il est encore tôt.
-... Je pense que tu as raison. A toute à l'heure alors.
- Veux-tu que je te réveille ?
faisant une réponse négative avec ma main, je me dirigeais vers ma chambre. Je poussais lourdement la porte de ma chambre pour m'étaler de tout mon long sur mon lit en laissant pendre mon bras en dehors du lit. Étonnement, je me rendormis très vite et je me réveilla quelques heures plus tard, le soleil était haut dans le ciel. Il devait être aux alentours de midi. M'appuyant sur mon bras droit pour me relever, je m'assis sur mon lit et admiras mes chaussons pendant quelques minutes avant de décider que je n'allais pas les mettre. Posant mon second pied au sol, j'eus la pire torture qu'un pied puisse jamais connaître. Je soulevais bien vite mon pied et retrouva le jouet de mon petit cousin - Il avait passé quelques temps chez moi et avait laissé pas mal de choses derrières lui - comme ce petit jouet en bois et métal de quelques centimètres de haut. Relâchant petit à petit mon souffle, je le décrocha et le laissa tomber au sol avant de donner un grand coup de pied dedans qui l'envoya sous mon armoire
- Là au moins personne ne marcheras dessus.
Ce petit événement m'as donc convaincu de mettre mes chaussons. Dans mon élan je descendis les escaliers et retourna dans la cuisine où je retrouve ma mère, derrière les casseroles et ses... ustensiles, ma mère me faisait toujours peur quand elle manipulait des couteau ou ce genre de choses. Cette salle rajoutait cette idée de "cru". Les murs un peu grisés, les casseroles suspendues oxydées et toute cette ambiance.. c'était bizarre, mais agréable aussi. Ma mère ne leva même pas sa tête pour me saluer, elle n'avait peut-être même pas considérée que j'étais dans la pièce. La fin de matinée se passa tranquillement. Pour ne pas faire travailler les muscles du ventre, mon père m'avait défendu de manger quelque chose pendant le déjeuner. Après cela, mon père me demanda de bien vouloir m'installer dans son bureau et d'enlever mon T-shirt. C'est alors que mon père pris ses outils et s'approcha de moi avec sa petite table mobile chargé d'épingles, d'épines et de choses pointues. Pris sous l'excitation, je n'entendais pas les phrases se voulant rassurantes de mon père. C'est alors que mon père commença à me masser et à m'enduire de produits. Il pris ensuite son stylet, l'approcha de mon ventre et perça ma peau en y laissant une traînée d'encre. Les produits me montaient à la tête.. Je me mis à dormir. A mon réveil, mon père avait quitté la pièce. Scrutant les alentours, je ne voyais rien ni personne. Je jette donc un coup d’œil à mon ventre. Mon ventre était maintenant recouvert de signes remontant jusqu'à ma poitrine, le tout recouvert de quelques filets de sang. Pris de fatigue je repose ma tête sur le dossier *soupir*. Ca y est : je suis adulte.
