Son sabot se pose sur un vieil ocre piétinée, la terre sèche est battue par les innombrable bataille qui s'y sont joué. Le vent fait s'envoler des nuages de poussières camouflant l'autre coter de l'espace, ne laissant voir qu'un ciel azur par l'ouverture béante de l'édifice sans toiture. Des cri s'élève de toute part, sur les pierres monumentale d'un jaune usée par le temps se tient le public à plusieurs pieds de hauteurs, ça danse, cri, s'extasie et se pavane.

Le colosse passe enfin la grande grille, la terre se fissure sous sa patte imposante. Ça dépasse aisément les deux mètre cinquante, la foret l'a élever. Il n'a ni dieu, ni maitre, il n'a pas besoin d'armure seul sa hache de bataille aussi grande qu'un humain compte. C'est une montagne, et son immense carrure laisse croire qu'il a plus de muscle que toute une armée.

En face quatre homme entre sur le tapis de poussière, heaume argenter a la visières closes, armure robuste et saillante, arme longue et immaculée des lumières du soleils. Un long silence s'impose, les quatre hommes entourent le monstre.

Tous finiront vaincus...

La bête gigantesque fume des naseaux, tape la patte sur le sol aride.
La foule retient son souffle.
La gueule grande ouverte, il hurle de toute sa puissance et son cri tonitruant fait vibrer les poitrines du public et des adversaire. On en viendrais presque a croire qu'il est indestructible.

Il passe a l'action et libère toute l'intensité de sa rage qu'il laisse explosé allégrement. Comparer a lui, ses ennemis sont des avortons et il ne fait pas dans la précision. Sous sa main pleuve d'abominable coups. Des lumière rouge jaillisses et la terre sèche est arrosé par le sanguinaire. Pour éviter de mourir, le dernier n'arrête pas de courir...
D'un si fort ennemi il n'en sortira pas glorieux.

La foule acclame le colosse.

La grille grince a nouveau. Cette fois c'est le tour d'une chimère, le colosse deviens fourmi, il n'arrive même pas au milieu de l'une des quatre pattes. Dominant toute sa hauteurs la créature charge et projette le titan a l'aide de l'une de ses défense d'ivoire. L'homme animale s'enfonce de toute sa masse contre un mur de pierre. Il est sonner, son instinct est puissant, de son immense main il envoie sa hache, le monstres titubent, la haches reste enfoncer dans ses chairs. Avant même que la créature ne puisse réagir, la colère force le titan a frapper le sol déclenchant un champs de pointe aiguiser. L'ennemi est transpercé de toute part.

De ses combats, seul ploie les faibles, les faibles, c'est les autres.



Et, toujours en quette d'une violence infini, le lion a la chevelure dorée par les rayon d'un soleil de sa divinité s'efface, les spectateur l'observe émerveiller, sa superbe colère et la masse mouvante laisse derrière lui un ennemi ravagé par les force de la terre.