(bon une petit texte vite fay parce que c'est motivant de voir des nouveaux post^^ (et oui Daph pour faire original >>))
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Tout est d'un calme étrange, d'un noir absolut sans pesanteur. Un petit matin frileux comme aucun autre.
Un chant régulier résonne, un chant comparable à celui d'une sirène.
Petite fille pleure,
Et oublie. Le désert bouillant sous tes pieds nus, ta mer de sable natale se dégradant dans des tons rouges, ocres et jaunâtres. Le soleil au zenith brulant ta peau, ou la caresse d'une main apaisant ta chair d'un doux embruns...
Aux chants des sirènes...
Souviens toi de ces innombrables cicatrices, comparable à chaque victoire sur le champs de bataille. Imposant le respect des uns. Forçant la peur des autres .
Ces stigmates irrégulière gravant ta peau si lisse, rappellant inlassablement ta crainte du jugement divins.
Tu en es là grâce à cet être, sans âme et sans corps. Qui t'as marquer à vif de sa profonde morsure et t'as emporté sournoisement dans les abysse de son océan infini. Même toi, une fille du vent...
Encore une dose ?
Les limites sont dépassé, et ta vie file plus vite que ton vénérable vent à bord d'un véhicule immaculé aux emblèmes croisé d'azure, tu traverse les rues et les carrefours aux sons de sa turbulente sirène.
Petite fille...
Aujourd'hui tu n'es plus la faucheuse. Et pourtant tu porte encore fièrement la marque de ceux qui se sont emparé de ta vie.
Il seront ton dernier amour et achèveront leur sombres desseins à la douceur d'un mortel baisé.
Enfin, affamé, ils chercheront de nouvelles victimes... Et tout comme toi :
Propanole asservira, Bétabloquant fortifira, Stimulateure justifiera, Physique l'emportera...
Aux chants des sirènes