|
|
| Comment ne pas payer le tram ? | |
| Auteur | Message |
---|
Hivrenuit d'Alimbertes
Messages : 501 Date d'inscription : 14/09/2009 Age : 31
Age du Personnage : 37 ans Alignement: Loyal Mauvais Classe - Fonction: Hypocrate, tueur en serie
| Sujet: Comment ne pas payer le tram ? Lun 8 Nov - 21:44 | |
| Suite de iciA la Citadelle, donc… Il y était déjà monté pour divers contrats, c’était faisable mais ça exigeait un minimum de préparation. Pour le look d’abord : s’il arrivait sapé en politicien cyber, et usait de toute la morgue à sa disposition, il pouvait monter armé en agitant un bout de plastique avec sa photo et son nom dessus ; s’il était habillé normalement, ça lui prendrait au moins deux heures même avec des papiers signés du Consul en personne. Et puis la gueule de Drake n’allait pas leur faciliter le travail : il avait tout du psychopathe, et ressemblait suffisamment à celui que la police recherchait pour que des agents n’ayant reçu qu’une description sommaire de la personne à appréhender veuille le foutre au poste. Deux choses à faire en conclusion : acheter des vêtements plus appropriés à la Citadelle, et se procurer de fausses cartes STC [lex]. Et si possible maquiller Drake. Le dernier point fut le plus vite réglé : avec ce qu’il avait dans sa trousse, foncer la peau et camoufler la balafre du vagabond prit à peine une demi-heure, d’autant que celui-ci était ravi de ce jeu. Il fut nettement plus dur de le convaincre qu’Hivrenuit n’avait pas besoin qu’on lui dessine un sourire sur les joues pour « égayer un peu cette tête d’enterrement »… Lorsque enfin Hivrenuit arriva à le calmer en lui promettant de l’écouter jouer du violon, même le patron avait quitté la taverne et l’ensemble de sa marchandise était répandu au sol ou sur les murs. Pour les cartes STC, ce fut rapidement fait : deux multipuces [lex] malencontreusement égarés, un détour par un cybercafé et en une petite heure elles étaient piratées. Partout sur l’intranet on trouvait des programmes pour casser la sécurité ridicule de ces gadgets électroniques, et Hivrenuit avait depuis de nombreuses années compris l’intérêt de connaître un tant soit peu l’informatique quand il agissait en territoire cyber. Mais tout ce beau travail fut réduit à néant en un rien de temps par ce qui aurait du être l’étape la plus simple : impossible de décider Drake à quitter sa veste d’officier qui semblait crier à la face du monde « regardez moi je suis un pirate ! » Pas moyen de l’habiller convenablement, pas moyen de le convaincre qu’il ne s’agissait que d’un déguisement, pas moyen de lui faire reconnaître que c’était la seule façon de passer inaperçu, il était buté. Il refusa même de la dissimuler sous un manteau en assurant que ça pourrait abîmer les épaulettes… Et c’est ainsi que, renonçant à passer par la voie classique, Drake et Hivrenuit contournèrent la station d’arrivée de l’ae-tram pour se faufiler par l’arrière. Face au mur qui bordait tout un côté de la rue, percé d’une seule porte sur laquelle un panneau indiquait « personnel uniquement », ils réflechissaient. |
| | | Misha Pavlov
Messages : 202 Date d'inscription : 30/07/2010
Age du Personnage : 33 ans Alignement: Chaotique Neutre Classe - Fonction: Transmutateur - pirate
| Sujet: Re: Comment ne pas payer le tram ? Mar 28 Déc - 19:27 | |
| Misha était surpris de voir son compagnon aussi consciencieux quand il s’agit de dissimuler une identité. Il paraissait avoir l’habitude de ces choses-là et c’est pourquoi Misha s’amusait de le faire tourner, une fois de plus, en bourrique. La situation lui échappait, il ne pouvait plus rien contrôler… C’était tout à fait hilarant pour l’ex-pirate, bien qu’il se fît violence pour ne pas se mettre à rire à gorge déployée devant la mine dépitée d’Allan. Mais, franchement, personne ne l’obligerait à enlever sa précieuse veste. Il était si classe avec ça sur les épaules ! Allan ne comprendrait jamais… Cette veste avait une histoire, comme toutes les autres d’ailleurs, une histoire qui lui octroyait une certaine valeur et qui donnait même envie à Misha de verser une petite larme nostalgique au doux souvenir de sa rencontre… Ah ah… Rencontre signifiait plutôt « donne-la moi ou je te frappe avec cette pagaie ». C’était vraiment le bon temps… Il soupira, ce qui énerva Allan puisqu’il était en train de le maquiller au moment où il se remémorait ce bon moment. Une fois que ce fut fini, Misha s’admira dans un bout de miroir brisé qui avait appartenu autrefois à une putain travaillant dans le bar. Il siffla d’admiration devant la parfaite dissimulation de sa cicatrice, ainsi que de son tatouage de transmutateur, de toute façon déjà caché par une bonne partie de ses cheveux, mais ne put s'empêcher de murmurer qu'il était tout de même moins beau-gosse sans sa cicatrice. Il avait ensuite ramené ses cheveux vers l’arrière pour se faire un catogan qui ne diminuait en rien sa masculinité. Il lui suffisait désormais de se forcer à ne pas sourire comme un sadique, et le tour serait joué ! Ces imbéciles de cyberpolitains n’y verraient que du feu… Mouhahahahaha. Enfin, ils quittèrent la taverne. Misha était tout excité, bien plus que d’ordinaire, par la perspective de découvrir un autre monde, si lointain du sien, de rencontrer des gens qui ne comprenaient sans doute absolument pas sa manière de vivre et ni son sens de l’esthétique. Comme Allan quoi ! Ce dernier avait depuis longtemps abandonné l’idée que son compagnon enlèverait cette fichue veste de pirate avant d’avoir atteint la Citadelle. C’est donc résigné qu’Allan s’avançait vers une station de l’ae-tram, qu’ils contournèrent pour arriver ensuite devant une porte réservée au personnel. Après l’avoir attentivement observé, Misha se dit que de toute façon ils se feraient repérés, que ce soit à cause de ses habits ou pas, puisque le blond n’arrêtait pas de faire la tronche. Alors, juste avant de décider quoique ce soit par rapport à cette porte très tentante, il tapota l’épaule d’Allan pour attirer son attention. − Écoute, on va faire un échange de bons procédés, toi et moi. − Ah oui ? répondit Allan, l’air sceptique. − Tu te force à paraître avenant et moi je fais un effort vestimentaire. − Avenant… − Ou abordable, si tu préfères, se corrigea Misha en se détournant. Ouvre bien grand tes prunelles, mon ami, car tu ne verras pas ça souvent. − Attends, l’interrompit le blond alors qu’il allait faire quelque chose en rapport avec le haut qu’il portait sous sa veste, ce n’est que maintenant que tu te rends compte que tu es aussi voyant qu’une catin au milieu d’un groupe de politiciens ? − Euuuuh. Ouais ! Misha lui offrit un sourire presque innocent et Allan se passa une main lasse dans les cheveux. − Et comment tu compte t’y prendre, exactement ? reprit le blond désabusé en croisant les bras. On n’a pas amené d’autres affaires avec nous. − C’est pourtant simple. Et en guise de preuves, il présenta ses mains, fit quelques mouvements bien calculés et les appliqua brusquement sur son torse. Un éclat de lumière surgit de ses paumes et les bandelettes qui lui servaient de haut se tortillèrent, se désagrégèrent, puis se reformèrent en autre chose (plus d'autres détails qui se modifièrent). Allan hocha la tête comme pour signifier qu’il aurait dû y penser plus tôt. Une fois la lumière disparue, Misha ouvrit les bras, l’air triomphant. − Tadaaaaa ! − Quoi, c’est tout ? articula péniblement Allan, dépité par le résultat. Ça ne change rien. Tu ressembles toujours autant à un pirate. − Dis-moi, chez les cyberpolitains, n’y aurait-il pas ce qu’on appelle des « phénomènes de mode » ? demanda simplement Misha en se penchant vers lui. − … Oui, je suppose. Et alors ? − Eh bien, j’ai entendu parler d’un de ces groupes qui s’appuient sur une mode en particulier. Des… Néo-Punk… ? Des goth-métaleux… ? Des… Je sais pas quoi ! Bref ! Ces gens s’habillent avec tout et n’importe quoi. C’est une sorte de mélange entre passé et présent ! Dooooonc, je peux passer pour l’un d’entre eux. Non ? Mais avant qu’Allan n’ait pu répondre, Misha l’attrapa par le bras et il ouvrit la porte réservée au personnel, pour ensuite s’engouffrer dedans. − Allons-y ! entendit-on tandis que le battant se refermait derrière eux. [HS : désolée pour cette réponse tardive, j'essayerais d'être plus rapide la prochaine fois >< Ouais sinon il ne faut pas s'étonner que ça finisse comme ça, Misha fonce toujours sans réfléchir au préalable !] |
| | | Hivrenuit d'Alimbertes
Messages : 501 Date d'inscription : 14/09/2009 Age : 31
Age du Personnage : 37 ans Alignement: Loyal Mauvais Classe - Fonction: Hypocrate, tueur en serie
| Sujet: Re: Comment ne pas payer le tram ? Mar 11 Jan - 23:05 | |
| Tandis que le battant claquait derrière eux, Hivrenuit jeta un coup d’œil transversal sur la cour dans laquelle ils venaient de débarquer : entourée de hauts murs de béton, recouverte d’un asphalte craquelé par les racines des plantes grimpantes qui se hissaient désespérément vers la lumière du soleil, jonchée de déchets, on aurait dit que cet accès n’était absolument plus utilisé. Cependant, balayé par le passage quotidien des employés, un étroit chemin allant droit de la porte d’entrée à la sortie témoignait du contraire. Hivrenuit se répéta une fois de plus que les Technopolitains n’avait décidément aucun sens de la plus élémentaire hygiène, puis reporta son attention sur Drake.
Celui-ci, continuant sur son élan, était parti s’écraser contre la porte de métal du bâtiment en lui-même sans penser qu’elle pouvait être fermée à clé. Dans un fracas épouvantable de tôle, il recula de deux pas, sonné, avant de se ressaisir et d’insulter violemment la porte. Il se vengea même d’un grand coup de pied qui retentit à son tour dans la rue. Fort heureusement, personne ne vint, alerté par le boucan qu’ils faisaient, leur demander ce qu’ils foutaient là. Restait tout de même un problème : comment allaient-ils rentrer dans le bâtiment ? Ils pouvaient attendre patiemment que quelqu’un sorte et leur ouvre la porte, mais ils n’avaient pas le look des salariés habituels de l’ae-tram, et cela pouvait prendre du temps. Ils décidèrent donc de tenter leur chance par une fenêtre entrebâillée au premier étage.
Drake ramassa deux courts morceaux de bois, arracha soigneusement les rameaux qui partaient en épis autour de ces fines branches, et les disposa soigneusement dans son poing fermé en prenant garde à ce qu’Hivrenuit ne remarque pas son manège. Puis, lorsqu’il eut terminé ses préparatifs, il se retourna et tendit le bras en direction de son sinistre colistier. Hivrenuit choisit rapidement un des bâtons et le compara à celui que tenait encore Drake : il était nettement plus long. Drake fit une grimace en voyant que, contrairement à son attente, Hivrenuit avait pris celui qui dépassait le moins de son poing, mais il s’exécuta : il monta sur ses épaules et se hissa sur le mur qui bordait la cour.
Il ne tenait que dans un équilibre précaire, mais, lentement, en exagérant chaque pas, il se rapprocha des fenêtres du premier étage. Faisant de grands gestes avec les bras, pour le spectacle, il attrapa enfin l’angle et s’y cramponna, comme si sa vie en dépendait. Soupirant de soulagement et d’appréhension tout à la fois, il enjamba ensuite le vide et posa son pied gauche sur le parapet le plus proche, avant de se rendre compte qu’il manquait de prise pour les mains, et ne pouvait donc ni avancer ni revenir à son ancienne position sans risquer de tomber deux mètres plus bas. Un rire nerveux lui échappa, mais il se reprit vite et, se drapant dans sa dignité, il ramena sa jambe droite à côté de la gauche avec élégance, comme si une vie passée sur des mats lui avait appris à se jouer de la gravité, quoiqu’il fût intérieurement pétrifié à l’idée de perdre l’équilibre. Il n’avait plus qu’a passer de ce parapet au voisin, et il sauta hardiment sur celui ci pour prouver qu’il n’avait décidemment rien à craindre du sort habituellement réservé à ceux qui s’essayent à la voltige sans y rien connaître. Puis, pour appuyer sa démonstration, il se courba en une profonde révérence en secouant un chapeau imaginaire vers Hivrenuit qui le regardait faire d’en bas.
A ce moment, quelqu’un ouvrit la porte tandis qu’un courant d’air repoussait la fenêtre dans le dos de Drake. Enfin déséquilibré, il bascula sur le secrétaire qui sortait vider une corbeille et l’assomma contre la marche en béton.
|
| | | Misha Pavlov
Messages : 202 Date d'inscription : 30/07/2010
Age du Personnage : 33 ans Alignement: Chaotique Neutre Classe - Fonction: Transmutateur - pirate
| Sujet: Re: Comment ne pas payer le tram ? Sam 5 Fév - 11:02 | |
| − Oups. Voilà l’unique son qui sortit de la bouche de Misha, toujours penché sur sa malheureuse victime. Un peu inquiet à l’idée de l’avoir peut-être tué, vu que se cogner la tête contre du béton, ce n’était jamais conseillé, il tapota les joues de l’homme. Notant une évidente absence de réactions, il le frappa plus fort au point que la peau du secrétaire devint rouge tomate. Toujours rien. Alors il souleva ses paupières, constata que le blanc était parfaitement normal et que les pupilles réagissaient à la lumière. Un « Ouf » intérieur retentit dans son esprit. Il voulait compter ses victimes sur les doigts de sa main ! − Qu’est-ce qui se passe ? intervint la voix hautement agacée d’Allan, resté en bas. Misha se pencha au-dessus de la fenêtre et lui adressa un petit signe de la main avec un grand sourire contrit. − J’ai assommé un gars, mais à part ça, tout va bien. − Merveilleux, grommela son compagnon. Bon, tu peux m’aider à monter maintenant ? Une fois que ce fut fait (Misha avait trouvé comme par miracle une sorte de corde faite dans une matière très résistante, et bien qu’il aurait préféré en fabriquer une avec des trombones, il l’avait jeté à l’alchimiste), Allan examina à son tour le pauvre malheureux. Misha le vit poser deux doigts sur son cou, puis renchérir sur le fait que le secrétaire était juste inconscient. − Ah bah oui, j’aurais pu vérifier comme ça aussi… murmura l’ex-pirate pour lui-même. Allan lui jeta un coup d’œil et c’est à ce moment-là qu’une porte de bureau s’ouvrit. Une silhouette aux larges épaules s’encadra entre les pans de murs, un homme habillé dans un étrange costume tout lisse et noir, avec une sorte de foulard bleu noué autour du cou, une pille de papiers entre les mains. La quarantaine bien tassée, il fixa d’abord les deux inconnus avant de se rendre compte de son collègue évanoui sur la moquette grise. − Bon sang, qu’est-ce que vous avez fait à Greg ?! tonna-t-il enfin, les yeux exorbités et tout son corps massif crispé par une soudaine angoisse. Il ne fallut pas longtemps à Misha pour trouver une solution à leur problème. Il se jeta sur le corps, le visage étiré par une fausse tristesse et la bouche entr’ouverte sur des gémissements beaucoup trop plaintifs pour être vrais. Contre toutes attentes, son petit jeu dramatique eut de l’effet sur l’homme, qui se décrispa légèrement, l’air troublé. − Vous… Vous connaissez Greg ? demanda-t-il, hésitant. Il sursauta quand Misha se releva brusquement et agrippa avec désespoir le bord de sa veste. − C’est mon cousin ! Mon paaaaaauuuuuuvre cousin ! Mon Dieu, qu’ai-je fait ?! − … Vous… Vous avez fait quoi exactement ? Derrière eux, Allan leva les yeux au ciel. − Je voulais faire une surprise à… Greg (Misha renifla), alors je suis venu directement à son… travail (dit-il après avoir observé une dernière fois son environnement, histoire d’être sûr) sans le prévenir. Je profite d’un passage en ville pour voir la famille… Vous savez, j’habite si loin d’eux que parfois ça me troue le… cœur de ne pas les voir aussi souvent que je veux. Déconcerté plus qu’autre chose, les yeux marrons de l’homme allèrent de Greg à Misha, qui ne se ressemblaient absolument pas. Greg était un grand brun aux cheveux courts et avec un nez aplati. − Et… donc, pourquoi est-ce qu’il est par terre ? Misha soupira, puis le lâcha. − Je suis arrivé en trombe dans ce couloir alors que lui était en train de monter l’escalier… Vous imaginez la suite. L’homme secoua la tête. − BOUM ! hurla alors le blond en guise de réponse, les bras levés en l’air. On s’est rentré dedans. Et voilà. L’employé se passa un mouchoir sur son front. − Je ne savais pas que Greg avait un… cousin tel que vous. Je suis désolé d’en avoir douté. − Ce n’est rien, lui dit Misha en lui tapotant gentiment le bras. Allan se rapprocha d’eux. − Qu’allons nous faire de lui ? Vous avez une infirmerie dans ces bureaux ? s’enquit-il à l’adresse de l’homme. − Malheureusement non, mais nous avons une salle de repos. On va l’y déposer le temps que l’ambulance arrive. − N’appelez pas l’hôpital, il va se remettre très vite, c’est un battant, contra Allan d’une voix ferme. Il voulait surtout que leur entrée dans la Citadelle ne soit pas trop remarquée. L’homme fronça les sourcils, de nouveau circonspect. − Vous aussi vous êtes un cousin de Greg ? dit-il à Allan. − Ahem, non, je suis juste un très bon ami du garçon que vous voyez-là, répondit-il en désignant Misha d’un mouvement de tête. De ce fait, je connais bien Greg. Il n’arrête pas de me parler de lui et je l’ai déjà rencontré plusieurs fois. Bon, comment sort-on d’ici ? − Vous ne restez pas pour veiller sur lui ? s’étonna l’homme. − On aimerait bien mais il faut absolument qu’on prévienne sa… petite-amie, continua Allan avec une certitude déconcertante et alors que Misha ouvrait la bouche pour intervenir, et comme on n’a pas de réseau par ici, on préfère l’appeler dehors. − Greg ne m’a vraiment pas tout dit sur lui… Après un instant de réflexion, l’employé finit par céder : − Très bien. De toute façon vous n’avez pas le droit d’être ici, même pour voir la famille. Il eut un regard navré pour Misha qui hocha la tête, comme s’il comprenait parfaitement. Puis il les invita à le suivre et ensemble ils prirent un ascenseur (Misha avait adoré la petite musique qui passait dans cette grosse boîte métallique) jusqu’au rez-de-chaussée et passèrent des détecteurs de métaux avant d’arriver dans le hall d’entrée, séparé du monde extérieur par de grandes baies vitrées. Le logo de la compagnie était incrusté dans le sol. Ils serrèrent chacun fermement la main de l’homme, un dénommé Todd, et sortirent enfin du bâtiment. Dehors régnait un chaos de tous les diables, du moins c’était ce que pensait Misha en se confrontant pour la première fois de sa vie à l’univers cyberpolitain. Il se tourna vers son acolyte, un grand sourire ravi aux lèvres. − A piece of cake, dude. On fait quoi maintenant ?
|
| | | Hivrenuit d'Alimbertes
Messages : 501 Date d'inscription : 14/09/2009 Age : 31
Age du Personnage : 37 ans Alignement: Loyal Mauvais Classe - Fonction: Hypocrate, tueur en serie
| Sujet: Re: Comment ne pas payer le tram ? Mar 15 Fév - 21:38 | |
| |
| | |
| Sujet: Re: Comment ne pas payer le tram ? | |
| |
| | | | Comment ne pas payer le tram ? | |
|
Sujets similaires | |
|
Sujets similaires | |
| |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|