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 [Zombieland] They are everywhere... We're lost...

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Kedran Ellahkir

Kedran Ellahkir


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MessageSujet: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyDim 11 Déc - 4:44

Quatre jours que je suis enfermé ici. Quatre putains de jours qui me rende fou !
Je suis en sécurité mais je ne ais pas pour combien de temps. Je suis en sécurité mais pas de leur plainte, pas de ongles qui raclent les murs...


*CRACK*

"RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!"

"PUTAIN NAN ! VOUS M'AUREZ PAS !

*BAM*


***
Quatre jours plus tôt

***

Je suis en cavale depuis quelques mois déjà. De longs mois passé à courir, se cacher, à tuer.. Non pas que tuer ne soit pas une habitude chez moi, au contraire, mais ces choses... ces fucking zombie ... Moi qui pensais que ces trucs n’existaient que dans les romans SF où encore dans les jeux-vidéo, mais je ne suis pas dans un jeu là, nan ...

J'avance dans les ruelles maintenant devenu plus sombres qu'autrefois des quartiers pavillonnaire de la citadelle. Avant ça rayonnait de vie en ce bourg, maintenant c'est que désolation, traces de sang et mort. Maintenant c'est un lieu de survie. Je dois me trouver un abris pour la nuit.

Je m'approche d'une de ces maisons, elles sont plutôt pas mal mais j'espère que leurs construction est solide et à l'épreuve de ces tas de chair, je n'aimerais pas être croqué en pleine nuit pas ces mâchoires purulente.

Je m'avance doucement près de la porte, mon desert eagles à la main et une machette trouvée non loin de la accroché à la ceinture... Au cas ou. Il ne semble pas qu'il y ai de bruit à l'intérieur mais soyons prudent quand même. La maison n'a pas d'étages, c'est plutôt embêtant mais la nuit est là et je n'ai pas le temps de chipoter. j'ouvre la porte et me tient prêt à tirer.


*hiiiiiiiinnnnnnnn*

Tain la porte grince un peu ! J'espère que ça ne va pas être entendu ! Si un seul m'entends je suis cuit !!!

Je fouille la maison, rien, pas âme qui vive ni qui pourrisse. Bien. Je vais me planquer dans la cuisine jusqu'à demain ou j’essaierai de trouver de quoi barricader les fenêtres. Je referme la porte et me tient prêt à quoi que ce soit. Il y a de l'eau potable. et j'ai encore assez de nourriture pour 4 jours, parfait. Je bloque la porte et plaque une porte de placard contre l'unique fenêtre de cette cuisine.

Je vais tenter de dormir. plus de 24h que je n'ai pas dormi, il faut que je sois plus en forme...

***
*Pendant la nuit*
***

*gratte gratte*

*Gémissement horrible*

*gratte gratte*


Je me réveille en sursaut à cause de ces bruits. Putain ils sont là ! Je me lève en douceur, les grattements viennent de la porte d'entrée, je peux sans doute tenter d'aller voir.

Dans la nuit complète j'ouvre délicatement la porte, tenant fébrilement mon Desert Eagles et une lumière dans l'autre main, avec une faible lumière je ne devrais pas être repéré si facilement, ils sont plus sensible aux sons. Doucement je passe la porte de la cuisine, je jette un oeil à droite à gauche en étant le plus à couvert contre les murs. J'arrive pr^t de la porte d'entrée, de la où je suis en regardant les fenêtre je ne vois rient d'apparent, mais j'entends, dans ce putain de silence de mort je l'entend ce salopard qui gratte la porte ! Il risque de la défoncer !

je suis maintenant à un mètre de la porte, il me semble n'entendre qu'un seul zombie, j'ai bien l'habitude de guetter les individus avec mon ancien boulot et les zombie ne diffèrent pas trop à ce niveau là, ils savent juste faire mieux les morts que les vivants.

Je me rapproche encore, je suis maintenant capable de tendre le bras pour ouvrir la porte. Toujours rien d'autre comme bruit distinctif que les grattements de l'unique zombie. C'est maintenant où jamais, je le tue et ainsi évite de me retrouver plus tard avec tout un gang de mort vivant. Je prends ma machette pour éviter de faire du bruit.

J'ouvre la porte rapidement et instantanément je plante ma machette dans le crâne du zombie qui s'écroule, raide.


"Un de plus, une nuit de tranquille" je soupire doucement.

Je m'en vais retrouver ma cuisine, toujours sur le qui vive et m'en retourne me reposer.

***
Deux jours plus tard*
***

J'ai été forcé de rester plus longtemps que prévu. Apparemment le zombie d'il y a deux jours en avait attiré d'autres qui sont venu plus lentement à sa suite. J'ai actuellement autour de la baraque environ 20 zombie qui s'amuse à camper devant chez moi, j'ai regardé et certains sont vraiment amoché, par le temps pour quelques un, par des blessures pour d'autre. Je pourrais m'en sortir mais je n'ai plus que quelques balles et cette machette. J'ai bon me débrouillé, je ne suis pas à l'abri d'une griffure ... Fuck !

Je suis coincé ici pour je ne sais combien de temps, forcé de faire le moins de bruit possible pour ne pas attiser leur avancer contre les murs de ma citadelle de bois ... Heureusement il me reste pas mal d'eau potable et j'économise au mieux la nourriture.


***

Ils grattent de plus en plus fort. Pourtant je ne fais aucun bruit, je passe mes journées assis dans la cuisine à attendre. Attendre quoi d'ailleurs ? La providence ? Pwah ! Y'a rien ici qui pourra me sauver. Je me suis enfermé moi même dans piège à rat et j'en paie le prix.

***
Le lendemain
***

Ils ont passé la porte d'entrée. Je suis perdu ... J'ai bien tenté la nuit dernière de partir par la fenêtre de la cuisine mais elle même entre les deux maison et la seul sortie possible est la rue... Infesté de zombie. Je suis complètement coincé ...

J'ai fouillé la cuisine en attendant, quitte à être mourut autant que ce soit dans un ultime éclat ! J'ai trouver de l'alcool ménager et des produit inflammable. Si il me trouve je les enflamme. Burn Baby et Kedran quitte la partie. Ce jeu à trop duré.


***

Il fait nuit maintenant et la porte ne va plus tenir longtemps ! J'ai installer tout ce qu'il faut pour la crémation, j'attends.

***


Quatre jours que je suis enfermé ici. Quatre putains de jours qui me rende fou !
Je suis en sécurité mais je ne ais pas pour combien de temps. Je suis en sécurité mais pas de leur plainte, pas de ongles qui raclent les murs...


*CRACK*

"RHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!"

"PUTAIN NAN ! VOUS M'AUREZ PAS !

*BAM*


Les flammes envahissent la salle, les zombie gueulent et râlent à tout va, moi même j'ai très chaud. pourtant je tente tout de même de passer en force. Une chaise dans les main j'avance en courant vers le tas de zombie qui commence à cramer. J'arrive difficilement à passer mais j'évite les coup de griffe qui partent, enfin je l'espère. Fuck it je n'abandonne pas, ils ne m'auront pas. La chaise commence à se péter, je prends la machette et taille dans le vif du sujets, où plutôt des sujets.

J'approche de la porte d'entrée complètement destroy. J'ai réussi à en étaler pas mal mais je suis toujours cerner. Certains zombies ce sont étaler dans d'autre pièces et commencent à avancer. Je suis prêt de la porte mais j'en remarque un juste derrière le trou béant.

"HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!"

Je saute et plante ma machette qui reste malheureusement planté dans le crâne du zombie. Merde ! Bon tant pis la voie est libre je dois filer !

"HAHA A LA REVOYURE BANDE D'ENFLURES !"

Je cours, cours, cours, je ne dois pas m’arrêter.
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Djazz Dickinson

Djazz Dickinson


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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyDim 11 Déc - 11:52

Djazz était la seule à ne pas être allée travailler ce jour-là. Même les gosses étaient à l'école, c'est dire... Et elle dessinait tranquillement dans sa chambre mais personne ne rentrait. Mais elle ne s'inquiéta pas. Travailler de nuit était courant. Mais quand même, les gosses à l'école...
Et le lendemain, lorsqu'elle sortit, ce fut l'horreur. Personne dans les rues. Des débuts d'incendie, des bateaux à moitié coulés. Les vitrines brisées, les cabs renversés.
Elle se mit à marcher, tournant le dos à la mer. Puis soudain, quelqu'un sortit de chez lui, refermant la porte le plus doucement du monde, comme pour ne pas réveiller un bébé. Il la vit là, seule, les bras ballants et lui chuchota :

«Hé ! Qu'est ce que tu fous là ?
- Mais... qu'est ce qui se passe ?
- Quoi ? T'es pas au courant ? Les zombies ont envahi Range Harbor, y en a partout ! T'es pas armée... Tiens, prend ça !  »

Il lui colla dans les mains une mitraillette de facture cyberpolitaine et une cartouchière. Il en portait trois autres autour de la taille et avait visiblement accroché un peu partout sur lui toutes les armes qu'il avait pu trouver. Il jetait sans cesse des regards inquiets autour de lui.
Un craquement se fit entendre et trois créatures surgirent d'une ruelle. Les hurlements lugubres, la chair en décomposition et leurs gestes lents et mécaniques glacèrent le sang de Djazz. L'homme hurla, saisit une arme et envoya des rafales vers les zombies. Deux tombèrent mais le troisième s'approchait, et il n'avait plus le temps de recharger.
L'homme partit en courant, en hurlant à Djazz :

« Va te cacher !! Et vise la tête ! La tête !! »

Alors Djazz courut toujours tout droit. Il n'y avait personne. Et puis elle arriva à la limite de Consortium...

Y aura des cyber là-bas, ils ont sûrement de quoi se défendre contre...

Un hurlement retentit plus loin dans la rue. Un homme courait, suivi par des morts-vivants. Ceux-ci se traînaient lentement mais l'homme était ralenti par un fardeau. Djazz en plissant les yeux distingua dans ses bras un petit enfant, et s'aperçut qu'il n'avait aucun moyen de défense. Dans ces circonstances, que faire ? Chacun pour soi ? Solidarité ?

Elle avisa une voiture garée un peu plus loin. C'était un modèle hybride, un mélange technologue et cyberpolitain, mais Djazz se dit que ça ne serait pas bien différent de ce qu'elle avait déjà piloté. Elle boucla la cartouchière autour de ses hanches, coinça la mitraillette du mieux qu'elle put sur son dos avec ses bretelles et courut vers l'auto.

La porte n'était pas fermée. Elle s'engouffra sur le siège conducteur, jeta un coup d’œil à l'homme : l'enfant toujours serré contre lui, il n'allait pas tarder à se faire rattraper.

« Et merde !! »

Pas de clé sur le contact. Djazz se glissa sous le volant, donna des coups de pieds dans la carlingue pour dégager les fils du contact. Le plastique céda, elle arracha le reste de la plaque avec les mains et saisit les câbles. Elle en coupa deux avec le canif qui ne la quittait jamais puis relia les faisceaux, les entortilla et la voiture démarra.
Djazz agrippa le volant, embraya et écrasa la pédale d'accélérateur. Formant un demi-tour pour prendre les mort-vivants par côté, elle attira l'attention de l'homme qui cessa de courir pour s'écarter. Djazz fonça sans réfléchir, percuta une des créatures qui vola avant de s'écraser au sol. Le choc ne fut pas violent, vu l'état de décomposition mais les quatre autres étaient moins abîmés. Elle les percuta, trois d'entre eux retombèrent violemment sur le toit de la voiture, défonçant la carlingue.

« Merde, merde !!! Saloperies !!! »

Elle manœuvra encore une fois pour écraser les zombies. Au moment où, en marche arrière, elle allait en coincer un entre le cul de la voiture et un mur, les faisceaux se détachèrent, coupant l'allumage net. Djazz sortit, trébucha et s'éloigna du lieu du carnage. Le père et l'enfant n'étaient plus là. Deux zombies bougeaient encore. Elle saisit sa mitraillette et s'aperçut qu'elle ne savait pas s'en servir, ni même la charger. Elle la recala donc dans son dos et partit en courant vers le centre de Consortium.

Putain, c'est quoi, ça... Et Billie, il est où ? Merde, qu'est c'que j'vais pouvoir faire...

Pendant sa course vers le centre-ville, des cris, des bruits de fusillade parvenaient à ses oreilles. Heureusement, elle ne fit aucune mauvaise rencontre.

Djazz rentra dans une supérette, sur le qui-vive, puis s'engouffra dans les rayons. L'angoisse monta en elle. Elle remplit un sac de biscuits, de barres énergétiques et de deux bouteilles d'eau, s'empara d'un couteau au rayon boucherie et le coinça dans sa ceinture.
Et soudain, la porte de l'arrière boutique s'ouvrit et une caissière en sortit. Elle avait le cou à moitié tranché, un bras arraché et les yeux enfoncés dans leurs orbites. Djazz, prenant ce qui lui tombait sous la main, lui jeta un cageot en plastique à la tête et ressortit en courant.

Comment j'ai pu garder mon sang froid ?

Puis, ne sachant où aller, la jeune femme entra sans trop réfléchir dans le premier bâtiment venu. Elle avança sur la pointe des pieds, le couteau serré dans le poing. C'était une banque. Elle fit lentement le tour du comptoir. Personne.
Elle posa son sac sous une table et entreprit de récupérer des meubles cassés pour fabriquer une planque derrière le comptoir

Ça ira pour le moment. J'peux facilement m'enfuir... faut qu'je trouve d'autres survivants...

Elle attendit deux jours dans l'inquiétude et l'appréhension. Mais ce matin, elle s'aperçut qu'elle n'avait plus rien à manger. Que faire ? Sortir et prendre des risques ou rester là et crever comme un rat ?
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Phaera.A Xarran

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyLun 12 Déc - 17:45

La musique du téléphone résonne dans la pièce sombre, Phaera ouvre un œil : 3h36... Elle fixe l'heure quelques secondes avant de regarder le téléphone qui affiche « Daphné » derrière une lumière verte fluo..
Phaera se retourne, ignorant l'appel de sa sœur, le répondeur s'amorce : « Bonjour, vous êtes bien chez Daphné et Phaera, nous ne sommes pas disponible pour le moment, laissez un message après le bip ! »

-Phaera décroche ce putin de téléphone !


Elle se léve, bouscule sa table de chevet qui s'écroule sur le parquet dans un fracas désagréable. Elle se saisit du téléphone et appuie sur le bouton vert.

- Merde Daphné j'tai déjà dit de pas m'appeler quand t'étais de garde sur le Zenith, tu te fais peut-être chier mais j'ai une nuit a finir...
- Je sais, mais la c'est urgent, code rouge Phae, code rouge !
- Quoi code rouge ? Faut pas déconner avec ça Daph'...
- Allume la Télé tu verras.


Elle attrape la télécommande, la télévision illumine toute la pièce de rayon agressif pour des yeux habituer a l'obscurité.

« … Pour votre sécurité, nous vous prions de rester calme et de ne pas sortir de chez vous, les autorité font tout leur possible pour obtenir un retour à la normale dans les plus bref délais. »

Un flash spécial passait en boucle, elle n'y comprend rien, elle se dirige aussitôt vers la fenêtre d'où elle tire les rideau épais.
Des panaches de fumées surplombé la ville d'où s'était déclarer un bon nombre d'incendie, au pied de l'immeuble les gens courent et tentent de fuir on ne sait quoi. Peut importe ou son regard se pose elle a l'impression d'être dans un de ces films apocalyptique qui fait tant fureur dans les cinéma ces dernier temps.
Le télé se tait, elle tourne la tête, l'écran n'affiche plus que « NO Signal ». Elle recule et s'assoie sur son lit comme désemparé.

-Daph... t'as foutu du PBSP dans mon assiette ou quoi ?
-Si seulement... Viens me chercher sur la place de consortium, prend un maximum d'armes et des munitions, met mon équipement de rechange, t'approche de personne et grouille toi de venir !
Des coup de feu retentissent dans le téléphone. Putin tu vas crever fils de p*** ! Phae grouille ! Je vais pas tenir long...

Coupure.
Le réseaux téléphonique vient de lâcher à son tour, toute les communications se coupent progressivement.
Elle reste un instant l'air béa sur son lit, écoutant la note régulière du téléphone, une sirène retentit dans la rue en contrebas, elle réagit.
Il lui faut fallu une dizaine de minute pour se préparer, le temps de mettre l'équipement et de charger munition et arme dans un grand sac en tissus, tout en se saisissant des clef sa Shelby, elle sort de l'appartement sans prendre la peine de fermer la porte.

Elle traverse tout l’immeuble dans une course rapide puis prend la direction du garage.
Clef dans la serrure, ceinture, contacte, elle enfonce la pédale.
Même pas 150 mètre plus loin,elle se retrouve bloquer par le concierge. Elle klaxon et fait rugir le moteur pour le faire bouger mais rien, elle descend de la voiture, le concierge ne réagis toujours pas.

-Mmmmmmmmmmhhhhhhhhhh.....
-Est-ce que tout va bien ?


Il se retourne et montre une figure horrible, baveuse, les yeux exorbité, la mâchoire pendante. Phaera recule de quelque pas et le braque avec son arme pour le menacer.

-Beuuuuuuh......
-Restez ou vous êtes !


Il lui saute dessus, elle vide son chargeur dans la poitrine de l'homme qui tombe en arrière.

-Putin j'tai dit de pas t'appro... Attend... Comment ?

Il bouge encore et tente de se relever malgré une poitrine criblé de balle, Phaera recharge et tire, le cœur, l'estomac, les poumons, les membres, rien, elle tente alors la tête, il ne bouge plus.

Elle monte aussitôt dans la voiture et ne tente même plus de réaliser ce qu'il se passe, si il y a d'autre type comme ça dans la rue, Daphné risque d'y passer.
En dix minute, elle arrive sur les lieux en esquivant les quelques bouchons en passant sur les trottoirs où quelques malheureux se font fauché par sa voiture.

Place du consortium...

Les lumières de la ville sont maintenant inerte et seul le ronronnement du véhicule résonne dans la rue, pas de Daphné, les sens alerte elle scrute les alentours malgré l'obscurité du lieu.
Deux coups de feu retentissent, elle aperçoit sa sœur, Phaera ouvre la porte Daphné plonge dans le véhicule

- Go ! Go ! Go !

Cinq types lui cours après, elle écrase la pédales d'accélération les pneus crispent sur le pavé et la GT500 disparaît dans une des ruelles.

- Daphy tu peux m'expliquer ?
- Je sais pas ! C'est la folie ! Les gens sont devenu complétement malade ! J'étais de garde sur le Zénith et y a une bande de type qui nous ont attaqué, au début on tient la position, on les descend comme des au tire au pigeons tu vois ? Et là, tu vas pas me croire mais il se relèvent ! La situation nous a vite échappé , quand j'ai vue qu'ils avaient passé nos ligne de défense et que les notre se mettait a nous attaquer également j'ai donné l'ordre de retraite, je sais pas si il y en a d'autre qui s'en sont tiré.
- On t'as rien dit a la radio sur le Zenith ?
- Non, j'pensais qu'avec la télé ils en diraient plus ! Comment tu peux vivre avec plus de 10 balles dans le corps ? J'y comprend rien c'est quoi ces gens ?
-Pareil, j'ai vider un chargeur sur le concierge il s'est relevé, y a bien un moyen de les descendre.
-On testera avec le sniper quand on sera plus en sécurité, pour le moment, faut essayer de rejoindre le QG.


Toute les sorties sont bouchées par d'immense carambolage, avec l'heure matinal, un brouillard épais mélangé au gaz polluant généré par la citadelle redescend sur la ville qui se couvre d'une épaisse purée de poids. Après avoir rechercher, sans pour autant y parvenir, une sortie a travers la ville, elle s'arrête au milieu de la route a cours de carburant.

- Daphné, on va trouver un endroit ou dormir, faut que tu te repose, et on voit ce qu'on fait quand il fera jour ok ?
- Dormir ? Ici ? T'as fumé quoi ? On est pas en sécurité ici !
- Justement ! C'est pas moi qui ai fait les troupes d'élite, bouge ton cul on est coincé pour le moment, on vois rien à trois mètre, sauf tu préfères rester a découvert ?
- Ok je prend les armes et on fonce dans le premier immeuble.


La porte claque. Le bruit de leur pas traverse la rue à puis une nouvelle porte claque.
C'était un de ces riches immeuble de consortium, le sol et les murs étaient recouvert de marbre blanc et divers colonne décorative affiché une belle perspective, les escaliers de bois exotique était recouvert d'un tapis rouges et doré; des décoration en fer forger ajoutaient une touche d'ambiance rétro et sophistiqué.

- Surveilles les escaliers, éteins ta lampes pour ne pas les attirer, je vais inspecter les appartements.

Daphné monte prudemment les escaliers, le bois grince presque à chacun de ses pas, elle s'enfonce dans un des couloirs, a son tour Phaera monte une dizaine de marches avant de s'agenouiller au mileu de sa montée. Tout repose désormais sur son ouïe.
Le fracas des coup de pied de Daphné qui enfonces les portes résonnaient dans tout l'immeuble, le bruit furtif et félin de ses pas qui inspectait les appartements d'où quelques porte grinçante ajoutait un climat oppressant.

- RAS, c'est vide
- Et maintenant ?


Daphné lui jette un extincteur, sort une de ses grenades.

- On fait péter les escaliers, en y repensant ils avaient pas l'air très dégourdit, je pense pas qu'ils pourront monter sans marche, les murs ont l'air de pouvoir supporter l'explosion, monte.

Elle jette sa grenade, cette dernière explose explose envoyant de toute part des morceau de bois et de plâtre, Une fumée légère remplace l'escalier. Aussitôt, l'épais nuage blanc de l'extincteur s'écrase sur les flammes qui finissent par disparaitre.

-Ça devrait aller, on est en hauteur, y a pas d'autre accès et on a de quoi manger dans les placards.

Après avoir surveillé les alentour une bonne demi-heure et inspecter plus attentivement les lieux elles finirent par se retrouver dans unes des chambres d'un des appartement . Elles trouvent de quoi manger puis après un long moment de silence Daphné reprend.

- On va rester ici 72h.
- 72h ?
- Je crois que c'est une sorte d'épidémie, tu te souviens du protocole ?
- Hum... 1er jour, intervention des forces armées, évacuation des civiles. 2em jour si l'épidémie est maitrisée l'armée continue de les secours, si l'épidémie empire, l'armée évacue avec les civile secouru et un maximum de matériel. 3em jour si l'épidémie n'est toujours pas maitrisé, éradication, bombardement au Napalm pour éviter une infection plus importante des zones avoisinant Range Harbor.
- Donc soit on voit l'armée, soit on se fait exploser...
- Géniale...
- Attends, il reste une hypothèse... Si il n'y a ni l'un, ni l'autre, ça veut dire que l'épidémie est mondiale, on pourra pas se cacher, ni fuir...
- On avisera à ce moment là, Faut que tu te repose, je prend le premier tour de garde.
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Luth Ostinato

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyVen 16 Déc - 23:02

''Je ne pensais pas la rejoindre de cette manière, mais le principale c'est qu'enfin je vais la revoir sourire et chanter.''

***

Ceci son les dernières page de mon journal. Je n'aurais jamais réellement utilisé régulièrement cet objet je dois l'avouer. Mais là c'est une occasion spéciale qui s'est offerte, malheureusement, à moi.

C'est d'une main fébrile et dans un état de santé qui va en baissant que j'écris ces mots. Je n'en ai plus pour très longtemps et j'ai peur, peur d'en finir avec la vie mais surtout peur de devenir comme eux. Je le sens au plus profond de moi … Je ne serais plus moi même après mon dernier souffle.

Pourtant une pointe de bonheur irréel pointe en moi. Une sorte d'ironie face à tous ce qui se passe en ce moment dans les rues de Range-Harbor. Je vais pouvoir la revoir, je vais enfin rejoindre celle qui est partie bien trop tôt !

Je ne sais pas pourquoi je prends la plume alors que mon état empire, mais je ressent comme une nécessité de laisser une trace. Comme pour prévenir les gens qui mettraient peut-être un jour la main sur mon journal et qui après avoir vu et peut-être lu des inepties verra l'alerte que je lance.

***

Comme à mon habitude je me suis rendu ce matin au cimetière pour refleurir et me recueillir sur la tombe de ma défunte Eileen.

Déjà je fut étonné par les rues vide de monde. La rue de la Corinthe n'est pas du genre à être vide, surtout un Mercredi le jour du marché. Mais comme ce matin j'étais un peu plus que d'habitude dans mes pensées à l'approche du cimetière je n'y ai pas vraiment prêté attention … Je me disais que nous somme à Range-Harbor, que des surprise n'ont de cesse d'intervenir ici bas et maintenant je dois avouer que je ne me trompais pas.

Je quittais donc une rue vide de population pour un autre. J'entrais au cimetière. Allée 12, tombe numéro 9. Les fleurs que j'avais mise il y a une semaine était renversées à moitié arrachées, première fois que cela arrive. Sans doute des chats errants.

Et là pendant que je me recueillais j'entendis un cri strident fendre l'air. Ni une ni deux je sortais du cimetière pour me diriger vers l'endroit d'où le cri, sans aucun doute féminin, était émit.

Et là une vision cauchemardesque. Je revois encore cette pauvre femme, qui ne devait avoir même pas la trentaine, recouverte de sang avec sur elle un homme accroupie et faisant des son morbides.
C'était clair, cet homme avait tué cette pauvre jeune femme et s'en régalait ! Il ne semblait pas m'avoir remarqué arrivé. Je ne pouvais pas le laisser continuer.

Et j’exécutais ce qui fut le plus débile des gestes de toute ma vie. Venger une femme d'un meurtrier cannibale.

La bête ne se débattît pas, je la retourna, la plaqua contre le seul et me rendit compte de que j'avais en face de mois. Une odeur de cadavre m'en assurais le tout. Un mort vivant juste devant mois, la bouche ensanglanté et puante de mort. Sous cette vision d'effroi je perdit mon self contrôle et la bête me mordu l'épaule. En réflexe je lui fit rencontrer violemment son crâne contre le pavé qui maintenant revêtait un cerveau en putréfaction. Raide la bête est sombré dans les affres du repos éternel.

***

Je ne me fis pas attendre pour rentrer chez moi et me faire soigner. Dans les rues des confrères du mort vivant apparaissaient au détour des rues. Range-Harbor était envahi.

Pareil pour la rue de la Corinthe. Heureusement je pu rentrer chez moi sans difficulté, mais la morsure me brûlais l'épaule. Je sentais le sang couler contre mon bras. La panique prit le dessus et c'est en hurlant que je franchi la porte du manoir. Mary et James et Mandoline vint à mes côté pour savoir ce qu'il se tramait et ma sœur ainsi que Mary hurlèrent en voyant ma chemise ensanglantée.

***

Mary réussi à pensée la blessure qui fut plus impressionnante que dangereuse, enfin à ce moment c'est ce que je pensais. Pourtant je sentais que je commençais à avoir la tête qui tourne et chaut. ET plus les heures avançaient et plus je me sentais faible. Ma respiration allant en se saccadant, mon pouls accélérant, mes yeux et mes lèvres ainsi que ma peau devenant de plus en plus livide. Mandoline pleure, je l'entend. Mary et James me regarde inquiet sur mon lit. Cela fait maintenant 15h que je me suis fait mordre et 1h que je me suis mis à écrire.

La morsure me fait de plus en plus mal et je ressent comme quelque chose qui se propage en moi. Impossible pour moi de trouver le sommeil et rien ne fait effet pour calmer les douleur et les délires qui commencent à pointer le bout de leur illusion. J'ai peur.

***

Il est maintenant 6h du matin et personne ne dors chez moi. Dehors on entend les râle des zombies qui arpente les rues. James à barricadé toutes les portes du manoir. Il commencent à savoir que nous sommes là et nous veulent pour leurs dîner. Et pendant ce temps danse devant moi Eileen dans un décor en flamme, des images morbide me traversent l'esprit et je cris, je pleur. Je sens que je m'en vais, je n'ai plus la force que d'écrire et même cela devient de plus en plus difficile.

***

♫♪ Musique ! ♪♫


Eileen c'est toi ? Encore ? Mais tu n'est pas censée être morte ? Oh oui c'est bien toi mon Eileen qui m'embrasse le front. Je t'aime tu sais. Embrasse moi mon amour avant que je finisse comme ces choses. Tu sais je le sais, je le sens que je devient comme eux. Ce genre de chose ce ressent quand on est sur le perrons de la mort... *tousse*

Oh oui, le goût de tes lèvres. J'avais oublié à quel point elle avaient un goût de miel. Et tes yeux, tes merveilleux petits yeux qui sont comme des perles pour moi. Je t'aime *tousse*

Toi aussi tu m'aime et m'a toujours aimé ? Comment ça tu n'as jamais voulu le dire à quel point ? Je ne comprends pas. Tu me le disais pourtant si souvent.

Tient mon amour, prends mon journal et écris tout ce qu'il se passera et essaie de le communiquer au monde. Je veux qu'ils ressentent tout ce qu'il s'est passé. Je vais te rejoindre mais je veux que le monde sache comment.

***

Ici Mary. Comme le voulait Monsieur je continue là où il en était. Mais maintenant il est mort. Monsieur Ostinato et mort et c'est les larmes aux yeux que j'écris ces mots. Cela fait 1h. Je ne sais pas où je trouve la force d'écrire... Monsieur Ostinato était tout pour nous, il était si bon et merveilleux. Jamais méchant, toujours juste et attentionné. Tout les matins c'est moi qu'il voyait en premier quand je lui apportais son petit déjeuné et il m’accueillait toujours avec un sourire et un ''Good Morning'' fredonné avec entrain.

Et maintenant il gît mort sur son lit. A cause de ces choses immonde. Vous me manquez monsieur... Moi qui vous aimais tant.

***

Il est revenu ! Il gratte la porte ! Comme il le craignais il est devenu une de ces choses ! Et il va s'en prendre à nous ! James dit qu'il doit s'en occuper, qu'on ne peut pas le laisser de se mouvoir dans la mort et perpétuer le cycle morbide de la contamination. Je ne veux pas l'entendre parler de ça. Nous avons barricadés la porte comme nous pouvons avec les meubles qu'il nous reste. Dame Mandoline est abattue et moi aussi. Mes jambes tremble comme jamais et mon estomac n'est qu'un nœud, mes yeux n'ont jamais autant pleurer.

***

Mandoline s'est enfermée dans sa chambre en prétextant un besoin de s'isoler, ce que je peux comprendre. Monsieur Ostinato continuer de geindre et de gratter avec ardeur la porte. Je n'arrive pas à croire qu'il soit devenu une de ces choses. Non ce n'est pas lui, il ne ferait jamais ça, ce doit être cette chose qui le contrôle. Luth ne ferait jamais ça, pas celui qui me souriait à chaque fois que l'on se croisaient et qui m'excusait mes bourdes … Non cet homme ne peut pas devenir un assoiffé de chair et de sang.

***

James s'est chargé de Monsieur Ostinato. Ce n'est pas avec bonheur qu'il le fit, loin de là. Mais pour la mémoire des Ostinato et surtout pour Luth. Il s'en chargea avec le pistolet que l'on gardaient dans le sellier. James à visé la porte et après que la détente retentit les grattements et les râle finirent. Luth pouvait reposer en paix maintenant et rejoindre celle qu'il aura aimé jusqu'au bout. Au revoir celui que j'aimais secrètement. Au revoir.

***

Je suis James. Un de ceux qui s'occupaient du Manoir Ostinato et qui les servait. J'écris pour finir ce journal. En effet je suis le dernier. J'ai vécu l'horreur de perdre tout ceux qui m'entourait, un a un mort... Monsieur Ostinato que je du abattre moi-même, jamais je ne pourrais m'en remettre et jusque dans ma tombe et au delà je garderais cet acte en mémoire. Mais Mary aussi, ma chère amie qui m'aidait dans les services de maison a mit fin à ses jours. Elle répéta sans cesse qu'elle ne pouvait supporter tout ce qu'il se passait dehors et la perte de Monsieur. Elle réussit à prendre le revolver que j'avais utilisé pour mettre fin au calvaire de Monsieur et pressa la détente contre sa tempe en exprimant comme dernière parole « Je ne peux rester sans vous Monsieur, je vous rejoint ».

Une image de plus qui se grave au fin fond et tréfonds de ma mémoire.

Et quand à Dame Mandoline … Elle se trancha les veines dans sa chambre en état de détresse.

Je suis maintenant seul et c'est avec honneur que j'aurais servit cette famille qui connut que des malheur. Ces gens ne méritaient pas tout cela et j'aimerais pouvoir honorer une dernière fois leur Nom. Mais je ne peux rien faire de plus enfermé ici alors que dehors de plus en plus de grattement se font entendre accompagné de plaintes horrible. Ils sont partout et nous somme perdu. Je crois que moi même je deviens fou …

***

Tout qui reste après ce texte est une immense tache de sang qui recouvre la dernière page du journal.

[H.R.P] La vache écrire ça en écoutant des chansons de disney je vous assure que ça rajoute du morbide =D Oh et pour la musique je me sentais obligé de la mettre ^^ Vous l'aimiez tant =D[/H.R.P]
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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMar 20 Déc - 0:10

Alors qu'il était en pleine course Pansen s'arrêta pour reprendre son souffle.
Il se retourna et constata qu'il était toujours poursuivit.

*Diantre, il ne se fatiguera donc jamais ?*

Un homme à la peau grise lui courrait après depuis maintenant plusieurs mètres, et plus Pansen courrait plus il y avait de monde qui le suivait. Il ne pouvait se résoudre à les appeler des monstres, car sa formation d'alchimiste lui interdisait de croire aux évènements inexplicables ou aux être surnaturels.
Cependant il ne pouvait ignorait le fait que l'homme qui le suivait avait la moitié de la tête enfoncé et un espèce d'énorme couteau planté dans la clavicule droite.

*J'en peux plus je suis crevé !! Mais j'ai pas révé j'ai vu une voiture partir dans cette direction il faut que je continu*

Ils étaient maintenant une dizaine à le suivre et alors que leurs vitesse ne diminuait pas Pansen lui se fatiguait. Même s'ils était lents ils finiraient par le rattraper compte tenu de la situation.
Par chance Pansen remarqua un vélo posé contre un mur à sa droite:

" La chance me sourit !"

Il l'enfourcha et tenta de mettre les voiles !

"Malédiction ! Je suis dans une monté je ne peux pas rouler !"

Épuisé par sa course et sur un sol aussi incliné le vélo le ralentirait, il le prit alors et le jeta sur la créature la plus proche de lui. Manqué.
En haut de la rue il s'arrêta. Ou aller désormais ?
* A gauche ? A droite ? Tout droit ? Ou donc a pu passer cette voiture ?*
Il n'eut pas le temps de se décider que retentit une explosion.
* Ça venait de la droite ! Si quelque chose a explosé cela signifie qu'il y a peut être quelqu'un qui pourra m'expliquer ce qui se passe !?*

Un petit coup d'œil derrière avant de repartir. Ils étaient une vingtaine. Remotivé Pansen parcouru les 500 mètres qui le séparaient de l'endroit ou semblait venir le bruit. Il n' y avait pas de nuage de poussière, seulement un peu de fumé qui sortait de la porte d'un bâtiment. L'explosion avait eut lieu à l'intérieur de se bâtiment. Non loin de la la voiture qu'il avait aperçu était garé.

" C'est la !!"

Il se précipita dans le bâtiment, le bruit de l'explosion avait attiré d'autres créatures vraisemblablement, il devenait vital de se mettre à l'abri. La porte était fermé, Pansen eut un haut le cœur en tournant la poignet. Heureusement elle n'était pas fermé à clef. Une fois à l'intérieur il referma la clef et se dirigeât vers le comptoir:
" Au secouuurs !! A l'aide aidez moi je vous prie j'ai besoin d'aide !! Il y a des gens dehors ! Je vous paierez !! Est ce qu'il y a quelqu'un ?"

Aucune réponse. Pansen, la main sur le nez et les yeux plissés se dirigeât vers les escaliers, malheureusement ils étaient détruit. Impossible de sauter.
" Au non pas ca !"
Pris au piège il courut vers la fenêtre la plus proche avant de s'en éloigner vivement. Un homme ensanglanté se tenait la, de l'autre coté.
"Au non au non au non au non!"
Il sortit son couteau et se laisse submergé par la panique. Puis calmement il se reprit et hurla:
"Venez me chercher enfants de putains !! Vous ne savez pas à qui vous avez à faire !!! J'vais vous saigner moi!"

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Djazz Dickinson

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMar 13 Mar - 18:03

Trois jours accroupie sous un meuble, à mariner dans l'anxiété, à appuyer sur son ventre pour le faire taire, la trotteuse de la grande horloge rythmant inlassablement le temps. Aucun bruit, aucun signe de vie à part les coups de son cœur inquiet.

En trois jours, Djazz aurait eu le temps d'échafauder des centaines d'hypothèses quant à l'origine de la pandémie. Mais elle ne sait pas ce qu'est une pandémie. Pas sûr que le concept d' "hypothèse" lui soit familier non plus... Mais son sens de l'observation, des mécanismes divers et variés, des associations complexes de pièces géométriques lui permirent de déduire le mode de fonctionnement de sa mitraillette. Au moins en théorie.

Le matin du troisième jour, elle se rappela que rester assise à se morfondre n'était pas vraiment son genre, alors elle décida de mettre la Grande Théorie de la Mitraillette Cyberpolitaine et de la Cartouchière Associée en pratique. La robuste jeune femme se leva donc, aux aguets, prête à tirer dans le tas au moindre bruit. Mais dans le hall de la banque ne résonnait que le bruissement du papier au courant d'air. Des feuilles voletaient un peu partout. Djazz aperçut d'énormes liasses de billets mais l'idée de les prendre ne l'effleura même pas. En ces circonstances, qu'en aurait-elle fait ? Soudoyer les morts-vivants en échange de son salut ou corrompre la porte d'un magasin d'armes pour pouvoir rentrer et se servir ?

Au moment où elle sortit du bâtiment, une brise tiède vint caresser son visage. Le ciel était bleu, l'air doux, le soleil radieux, les voitures cabossées, les poubelles renversées et les portes éventrées. Djazz prit une direction au hasard et marcha en savourant le temps printanier. Elle se surprit à aimer la situation. Personne dans les rues, danger imminent, dépoutrage à volonté. Belle occasion de se défouler et d'évacuer sa violence. La tank-girl commença à jouer avec son couteau avant de se rappeler que le premier objectif était de trouver d'autres survivants, l'armée, un hélicoptère, n'importe quoi qui permettrait de se sortir de ce drôle de cauchemar.

En marchant, elle ne s'aperçut pas que le brouillard était tombé.
Soudain, alors qu'elle commençait à se faire du mouron pour sa famille, cinq ou six personnes en très mauvais état débouchèrent d'une ruelle pour s'avancer vers elle. Djazz évalua la situation :

cinquante-neuf cartouches - 10-20 mètres de distance avec le danger - vitesse des zombies = celle du tricycle du petit frère - escalier de secours menant à l'intérieur d'un immeuble juste à côté

Options :
- Attendre comme une grosse nouille, puis gaspiller les munitions en tirant dans le tas. Stress : + 20 - Capacité de tirer juste du premier coup : - 10. Chances de survies avant contamination par déjection baveuse, morveuse ou sanguine : FAIBLES. Résultat : mort stupide.

- Monter maintenant l'escalier de secours, rentrer dans l'immeuble, attendre, puis redescendre.
Sabotage de l'escalier : TRÈS MAUVAISE IDÉE. (comment tu fais pour redescendre si il y a des morts-vivants dans l'immeuble ?) Chances de trouver des survivants : probable. Trouver de la bouffe : presque certain. Faire un brin de toilette : un quoi ?
Résultat : victoire éclatante, autosatisfaction assurée pendant 3 minutes avant retour à la réalité.

Djazz monta donc les escaliers en courant. Le métal faisait "clang" à chaque pas, la jeune femme souligna ce détail inutile et s'aperçut qu'elle avait des cailloux dans les chaussures.

*Comment des cailloux ont pu venir jusqu'au fond ? C'est des bottines ! C'est fou quand même... J'y suis presque, putain qu'il est haut cet escalier ! En plus ce soir on avait prévu de faire des grillades ! Résultat à cause de ce putain de virus à la con, pas de grillades. Rhaaaa, les cailloux ! Ça m'soûle ! Avec des poivrons, trop dég'... Mais alors, les jumeaux à l'école ? C'est de la connerie l'école, voilà, maintenant ils doivent se terrer comme des bêtes pour échapper à... à moins que...*

Djazz, inquiète jusqu'à présent à l'idée que sa famille, dispersée, doive se cacher, réalisa qu'ils pourraient tous simplement avoir été contaminés. Cette idée fit son chemin et eut l'effet d'un anesthésiant sur elle. S'arrêtant net, elle glissa et se retrouva allongée en travers de l'escalier.
Les morts-vivants entrèrent dans son champ de vision. Surmontant un début de crise de désespoir, Djazz gravit les dernières marches, se hissa sur le palier et défonça la porte d'un puissant coup de pied, puis elle s'aperçut que le palier longeait le mur et qu'un peu plus loin, devant une fenêtre, se tenait un autre zombie. Ce dernier entendit la porte claquer, se tourna et avança vers Djazz.

"Rhaaaa ! Salopard ! j't'avais pas vu !!!"

Pas le choix, celle-ci le mitrailla en pleine tête. Huit cartouches suffirent. La créature tituba et tomba dans le vide.

La micro-seconde de jubilation passée, Djazz entra dans l'immeuble. Tout semblait normal excepté l'escalier dynamité et l’ascenseur défoncé.

*Si le zomb' se trouvait devant cette fenêtre, c'est qu'il y a quelqu'un à l'intérieur.*

A ce moment-là, comme pour confirmer sa pensée, une voix hurla depuis l'intérieur de l'appartement :

"Venez me chercher enfants de putains !! Vous ne savez pas à qui vous avez à faire !!! J'vais vous saigner moi!"

Djazz défonça alors la porte, arme au poing, prête à tirer. Mais il n'y avait pas de morts-vivants. Seulement un homme vêtu très bizarrement, armé d'un simple couteau. Apparemment il s'était adressé au zombie que Djazz venait de descendre. Elle s'approcha doucement, méfiante. L'homme la dévisagea. Elle l'entendit haleter et renifler et se rassura.

Une personne vivante. Enfin. Mais pas vraiment équipée pour se défendre.

"Vous z'allez pas tenir deux heures avec votre couteau. Pourquoi vous z'avez pas pris un gun ?"

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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptySam 17 Mar - 19:01

Pansen regarda le jeune homme qui venait de débouler devant lui, pétrifié par les bruits de la détonation il ne pu formuler de phrase pendant plusieurs secondes.

" Il... il est mort ?" lança t-il inquiet.

"Bien... ouais heureusement !" Répondit Djazz l'air amusé.

Pansen s'avança et se pencha pour voir le corps. Il baignait dans une marre de sang huileuse.

Il posa alors une multitude de questions à la jeune femme: que se passe t-il ? Qui sont ces gens ? Djazz lui répéta tout ce qu'elle savait, du moment ou elle était partie de chez elle, de l'homme qui lui avait donné une mitraillette... Elle lui conta avec émotion l'homme qu'elle avait vu courir avec un enfant, et le fait qu'elle ne savait pas ce qu'ils étaient devenu... Puis elle lui parla de sa famille et de tout le reste.

"Donc vous êtes entrain de me dire que vous avez passé 3 jours dans une banque et que les morts marchent ?"

Djazz hochât la tête en guise de réponse

" Foutaises ! C'est des foutaises !! Les morts ne peuvent pas marcher ! Ils sont peut être victime d'une dégénérescence cellulaire causé par une prise trop assidu de drogues ! Ils hallucinent deviennent violent et attaquent les gens ! Ils ne se fatiguent pas car leur cerveaux malade leur envoie en continu de l'adrénaline mais ils ne sont pas morts !C'est impossible de... c'est.... à moins que..."

Pansen s'arrêta. Le jeune homme avait l'air sérieux, il n'avait pas l'air fou et pourtant il n'avait pas hésité à abattre de sang froid un homme en pleine tête. Ce qu'il disait avait du sens...

" Vaut mieux pas trainer ici il y en a peut être d'autres... Sérieusement j'aurais pas inventé une histoire pareille mais libre à vous de me croire ou pas ! Je pense... j'pense qu'il vaudrait mieux rester grouper on aura plus de chance de survivre comme ca..."

Djazz avait du mal a s'écouter parler, elle avait dit "survivre". Alors qu'elle continuait à lui parler elle sentait que ses mots avaient fait écho dans l'esprit de son interlocuteur. Ce dernier s'était dirigé vers le comptoir, avait arraché un pan de papier peint et s'était mis à écrire dessus. Il lui tendit bientôt le document.

"J'ai quelqu'un à aller voir à Alestra et je suis d'accord avec vous sur le fait que nous devons rester grouper. Je n'ai pas de gueunes et même si j'en possédais hélas je ne saurait comment les utiliser. Voilà ce que je vous propose, je vous aide à retrouver vos frères et sœurs et vous m'accompagnez retrouver mon amie."
Avant que Djazz ne réponde Pansen continua:
"Oh et avant partir je vais disséquer un de ces corps pour être sur de ce à quoi nous avons à faire. Pour cela j'aurais besoin de tous les éléments de cette liste que vous pourrez trouver dans n'importe quelle pharmacie. Pendant que vous irez les chercher je m'occuperai de trouver une de ces créatures... vivante."
Citation :

- des compresses
- de l'opium (ou de la morphine)
- de l'alcool
- du feu (des briquets ou équivalent)
- tout ce que vous trouverez d'utile


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Djazz Dickinson

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMer 21 Mar - 17:38

Djazz n'écouta Pansen que d'une oreille. L'autre était occupée à filtrer les bruits venant de l'extérieur mais surtout elle était en train de dévaliser les placards de l'appartement. Elle prit soin d'éviter les fruits et les biscuits posés sur la table et qui auraient pu se faire contaminer mais avala plusieurs compotes, des olives et des chips ("c'est pas mauvais, ces trucs là en fait !").

Apparemment, Pansen n'avait pas faim.
"Vous feriez mieux de vous caler l'estomac. A moins que vous soyez du genre à rendre vos tripes à la vue d'un bout de cervelle ambulant ?
- Je ne suis pas un pleutre ! s'énerva l'alchimiste."

Djazz le regarda de haut en bas et leva un sourcil. Traduction : "en tout cas vous en avez l'air." Elle disparut ensuite dans la pièce d'à côté, dénicha sans doute le minibar et réapparut brandissant une bouteille de Zack Daniel's à moitié pleine. La jeune femme l'ouvrit et s'apprêtait à en boire une lampée quand Pansen l'en empêcha.

"Vous êtes fou ! Nous devons avoir toute notre tête !
- Lâchez-moi, vous ! Un peu de baume au coeur pour ce qui nous attend. Vous en voulez ? Non ?"

*C'est bien ma chance, se dit-elle. Je tombe sur un mec vivant et c'est une tante. Putain !*

Sans lui laisser le temps de répondre elle avala une lampée de whisky, le reboucha et le glissa dans son sac.

"Nah mais vous inquiétez pas, je compte pas tout boire. C'est au cas où on aurait besoin de faire brûler quequ'chose."

Pansen lui tendit le mot griffonné.

"Oh et avant partir je vais disséquer un de ces corps pour être sur de ce à quoi nous avons à faire. Pour cela j'aurais besoin de tous les éléments de cette liste que vous pourrez trouver dans n'importe quelle pharmacie. Pendant que vous irez les chercher je m'occuperai de trouver une de ces créatures... vivante."

La jeune femme blasée se frappa le front avant de répondre :

"Non mais attends, là... Je... Haha, non mais je rêve, aaah le con ! Non mais... Pff ! *imite la voix de Pansen* Je vais disséquer un de ces corps, je vais trouver une de ces créatures vivantes ! Ouais, super mec, non mais j't'explique, on s'en fout d'être sûr de ce à quoi on a affaire ce qu'il faut c'est trouver les autorités, ou d'autres gens !!! Dès que t'auras touché une de ces bestioles tu va te faire contaminer."

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Dscf3010

En parlant Djazz bricolait un système avec des ceintures trouvées dans les chambres pour avoir la mitraillette à portée de main tout en étant pas gênée.

"Bon, après, si tu veux crever comme une merde, c'est ton problème. Mais bon, ça la foutrait mal quand même nan ? Bon, allez on sort de là."

Elle réajusta son sac, prit Pansen par la manche et le tira sans ménagement dehors. Ils descendirent l'escalier.

"Ah oui, au fait. Ta liste, là. C'est naze. Ce qu'on doit trouver, c'est des humains, des armes et de la bouffe."

Djazz n'avait pas l'intention de se laisser faire par ce bonhomme et encore moins de faire ses courses. Celui-ci protestait mais elle ne l'écouta pas et continua.
Arrivés en bas des escaliers, la jeune femme s'arrêta net, obligeant Pansen à faire de même, et passa sa tête dans la rue. Au moment où sa botte toucha le sol, une vingtaine de zombie apparut, éparpillée par petits groupes. Ils avançaient lentement et son coeur se souleva. Elle commençait à paniquer lorsque soudain, de l'autre côté de la rue, elle LA vit.

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Sans_t11

Pendant quelques secondes, Djazz jubila. Sa magnifique carrosserie rouge vif rutilait. Le brouillard s'était levé et les rayons de soleil soulignaient parfaitement la grâce de ses lignes. Les jantes brillaient comme un sou neuf, les rétroviseurs le pot, les phares étaient sans doute l'oeuvre d'un génie.

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Images?q=tbn:ANd9GcTtK1nF4OKZSe2dzSQwAeECoBlXa7cpJEVtb3LNB8Xq-3ftvq_REYKP_Eka

Une sorte de "whaaaeeuuuhggh" dégueulasse et un "bougez-vous, enfin !" la firent redescendre sur terre. Les morts-vivants arrivaient chacun d'un côté. En allant très vite, ils pouvaient traverser avant que les deux bords ne se rejoignent, faire démarrer la voiture et s'enfuir de la zone.

"Bon, on va courir OK ?!"
"Que..."

Djazz s'élança et piqua un sprint sans se soucier si Pansen la suivait ou pas. Au milieu de la route, alors qu'une des bestioles venait de perdre un bout de bras, elle hurla à son adresse :

"Et maintenant, tu veux toujours jouer du scalpel ?!!"

Enfin ils arrivèrent à la voiture. Le miracle à ce moment précis fit qu'elle n'était pas fermée et que la clé se trouvait sur le contact. Djazz se rua sur le siège conducteur tandis que Pansen se postait à la place du mort.

"Accroche-toi, mec !"

Elle démarra sur les chapeaux de roues, l'accélération colla leurs corps aux sièges et elle fonça à travers les morts-vivants. Djazz fit une moue de dégoût lorsque le sang gicla sur le pare-brise.

"Quel gâchis, une si belle caisse..."

[HS]
Spoiler:
[/HS]

Djazz se tourna soudain vers Pansen comme si elle venait de se rappeler d'un truc important :

"Ah oui au fait, comment tu t'appelles ? Moi c'est Djazz. Et ch'uis une fille en fait. Non parce que tout à l'heure, t'as dit "fou", pas qu'ça me choque mais au moins tu sais à qui t'as affaire."


Spoiler:
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Daphné.A Xarran

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyJeu 22 Mar - 20:46

(C'est une rep de Phae mais j'ai la flemme de changer de compte puis le poste s'adresse aux deux ^^)

1er jour :

L'épidémie a l'air de se répandre à toute vitesse, rien ne semble l'arrêter. Les humains ou tout autre créatures ayant eu contact avec ces choses se transforme a leur tour augmentant la population des cibles. La population de Range harbor se compte en million d'habitant, l'ennemie serait donc innombrable ? Aucun contacte verbale n'a put être entretenu, les insultes de Daphné comme les propositions d'arrangement de ma part on toute échoué sur un signe agressif. Sans usage de parole ces choses peuvent-elle encore être considérer comme humains ?

2em jours

Malgré mes recommandations, Daphné c'est tout de même poster sur le toit de l'immeuble afin de trouver le point sensible de ces choses. Âpres divers balle précise et létal nous en avons conclut que si les chose n'était pas atteinte au niveau du cerveau elles se relèvent toujours. Sont-elle toujours vivante ? Pour ce qui est de la propagation de l'épidémie, le virus ou tout autre chose ne se transmet pas par voit respiratoire, l'air est saint. Éviter un contacte physique a tout prix. Aucun canon en vue, aucun militaire dans la rue. Nous avons asser de ration pour tenir un bon mois, l'eau potable sera plus difficile a conserver.

3em jour.

Aucune nouvelle de l'OMCU, l'épidémie a sans doute submerger bien plus que Range Harbor. La radio ne reçoit plus aucune fréquence. Au fur et a mesure que nos rations diminue je vois nos heures de vie diminuer, il s'agit maintenant de survivre, mais dans qu'elle bute ? Trouver un remède ? Et comment ? Je ne suis pas physicienne ou je ne sait quoi !


Phaera était adossé contre le mur de la chambre scrutant inlassablement la rue déserte. Les stores de la pièce étaient clos, seul la lumière rouge -aune ou rosé de fin d'après midi passait en dizaine de raie lumineux a travers la chambre sombre.

Non loin Daphné s'était allonger sur le lit, le visage face au plafond lançant comme pour tuer le temps un petite balle contre le plafond. Elle la relance et la relance provocant a chaque fois un bruit sourd contre le plafond ou la paume de sa main.

-♫♪♪♫Mon pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon...Mon pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... ♫♪♫♪

-Daph tu peux la fermer s'il te plait ?


La balle en caoutchouc retombe lourdement sur le sol, tout le corps de daphné se tourne lentement , sa tête affiche un air las.

-Plus de balle, pas d'électricité, pas d'internet, pas d'eau courante, pas de téléphone... La batterie de mon mp3 est morte... Je me fait chier Phae...
-On est toute les deux dans la même galère Daph.
-Oue mais on peut au moins récupérer les munitions dans ta GT 500.
-Non trop risqué on a pas assez de renseignement sur l'ennemie, on ne sait pas exactement comment se propage la maladie.
-C'est pourtant simple, pour ce que j'en ai vue ça a l'air de se répandre par les liquides du corps type sang, salive, vomit ou tout autre truc.
-Et on ira pas en bas pour autant...

- ♫♪♪♫Mon pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon...Mon pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon !Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... pantalon ! Est décousu ! Et si ça continu, on verra l'trou d'mon... ♫♪♫♪

-La ferme Daph !

Un gros silence s'installe, Daphne se lève, marche lentement vers la fenêtre, sépare deux rame en plastique et regarde à l'extérieur...

-Phae y a des cons qui monte dans ton Eléanore.
-arrête tes conneries y a personne dehors.


Le bruit de la voiture gronde dans la rue avant que les pneu crispe suivit de divers choc contre le véhicule.

-C'est ça qu'on aurait du faire Phae ! Ça c'est de la réaction, éradiquer ces pourritures.
-Des...


Elle n'y croyais pas ou plutôt n'y croyais plus, des survivant autre qu'elles. Temps qui a de la vie il y a de l'espoir n'est-ce pas ?

-C'est dommage pour eux ils vont finir par se faire bouffer, le réservoir était presque sec.
-Daphn arrête de regarder dehors ! Prend les flingues et des munitions on les ramène ici.
-Et on en profite pour récupérer l'équipement dans le coffre !


Daphné sort sa boite de pilule préféré et les croque.

-Hell yeah !
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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyDim 25 Mar - 21:41

[Dans la voiture]
C'était la folie, derrières eux une dizaine de ces choses les suivaient, elle avait appelé ça des zombies ? Devant eux, 2 ou 3 de ces créatures tentaient de s'accrocher à leur voiture, en dessous d'eux, ils étaient environ 5 à se faire rouler dessus.
Et au volant cette malade déjantée qui prétendait être une fille. Elle lui parlait comme si de rien n'était alors que leur situation était critique. Mais comme on dit c'est au fond du trou qu'on s'aperçoit qu'on peut tomber plus bas.

La voiture s'arrête...

"Ah merde !" Lança la jeune fille au volant.
"Merde merde merde !" Continua t-elle

"Pourquoi vous arrêtez-vous ? Avancez ils arrivent !!!" S'époumona Pansen prit de panique.

"Je crois qu'il y a plus d'essence va falloir sortir... Trop deg j'ai même pas pu tester cette merveille !" Dit la jeune fille en prenant son arme en main.

"S... sombre merde !! Vous m'avez entrainer jusqu'ici et maintenant nous sommes bloqué !!"

"Oh ca va hein comment je pouvais savoir qu'il y avait plus d'essence ! J'vous ai sauvé les miches je vous rappelle alors arrêtez de chialer ! Nan mais quel tante quoi j'vous jure."


[Dans l'immeuble]

Daphné était déjà en bas des escaliers, alors que Phaera la suivait lui vint une image, l'appartement 07 ! Elle s'y précipita, entra dans la chambre et se dirigea vers le placard. Elle avait déjà inspecté cette chambre auparavant et quelque chose qui en temps normal aurait été un détail avait retenu son attention. Elle le tira vers elle et l'ouvrit:

Spoiler:

Elle saisit le marteau et un tourne vis puis fila rejoindre Daphné.

[Dans la voiture]

Spoiler:

Les zombies encerclaient maintenant la voiture. Pansen paniqué avait du mal a respirer, la terreur le paralysait. Djazz prit son courage à deux mains et ouvrit la portière de force, dégageant ainsi 2 zombie. Usant de sa mitraillette elle se dégagea de la voiture laissant 2 cadavres et une dizaine de douilles derrière elle.
Près de l'immeuble au même moment comme une furie Daphné débarquait suivit de près par Phaera.

*A droite, tête, marteau, A gauche, oeil, tourne vis, Devant, mâchoire, marteau...*

Toutes ces informations défilaient dans la tête de Phaera.
Méthodiquement elle avançait vers la voiture.

Djazz se tournant vers les deux guerrières sourit de soulagement et se dit à elle même:
"Je crois qu'on est sauvé"
Spoiler:

Pansen toujours dans la voiture voyant Djazz sourit suivit son regard. Il s'exclame en voyant Phaera
" Trisstee ?!"
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Pétroline Herriot

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMer 4 Avr - 10:54

Quelques jours plus tôt…

Pétroline était ressortie de l’école accompagnée comme toujours de sa fidèle amie Tiphaine. Elles avaient alors trouvé les rues désertes, le pavé uniquement jonché de détritus et parfois, quand on regardait bien, il y avait des traces de sang qui sillonnaient le sol… Peu rassurée, Tiphaine se colla à son amie qui n’eut pour seule réaction que de demeurer silencieuse, son visage grave scrutant les alentours. Elles étaient les dernières qui avaient passé leur temps en salle d’étude et désormais qu’il n’y avait plus personne, elles se demandèrent l’une et l’autre s’il n’y avait pas une foire quelque part ou une sorte de réunion dont elles n’avaient pas été mises au courant. « Eh, vous là ! » cria une voix au-dessus d’elles.
Pétroline leva la tête et découvrit un homme penché sur sa fenêtre. Il arborait un masque de terreur qui avait profondément marqué ses traits. « Ne restez pas là ! continua-t-il en baissant toutefois la voix comme s’il ne voulait pas qu’une autre personne l’entende. Des monstres ont envahi la ville, des monstres mangeurs de chair humaine ! Il faut que vous vous cachiez ! »
Peu convaincue par les paroles de cet homme qu’elle prit pour un illuminé, Pétroline fronça un peu plus ses sourcils et lui répondit : « Nous ne sommes pas le premier avril, à ce que je sache. Vous dites n’importe quoi. »
Prenant Tiphaine par le coude, elle s’apprêta à tourner les talons quand l’inconnu renchérit dans un gargouillement aigu : « Attendez ! Je vous connais. Vous êtes la fille d’Edmond Starfield, et cet homme, j’ai beaucoup de respect pour lui. »
Ces paroles suffirent à Pétroline pour ne pas l’ignorer. Elle le dévisagea, impassible. « S’il apprenait que quelque chose vous est arrivé… Oh, je m’en voudrais éternellement si je ne fais rien… Ne me croyez pas si vous voulez, mais prenez au moins ça pour vous protéger. »
De sa fenêtre, il lança à la grande rousse un arc et un carquois rempli de flèches. « Je le gardais au cas où… Mais il vous sera plus utile qu’à moi. » Il s’essuya le front, sans doute moite de sueur, puis reprit : « Surtout, ne vous faites pas mordre. Bonne chance ! » Et il referma sa fenêtre dans un claquement.
Pétroline et Tiphaine se regardèrent quand un grognement s’éleva derrière elles. Elles pivotèrent et découvrirent une enfant habillée d’une grande robe rose à volants. Son visage autrefois adorable était déchiqueté du côté de sa joue droite. Un de ses yeux manquait. Elle tenait contre elle une poupée en porcelaine qui était couverte de sang. Pétroline trouva que ce tableau était ridicule et invraisemblable, tout comme de voir un peu plus loin une petite horde se traîner lentement vers elles. Les mots de l’homme résonnaient pourtant dans la tête de la grande rousse et très vite, comme si l’instinct lui avait soufflé de le faire, elle banda son arc et encocha une flèche. Tiphaine glapit alors que la petite fille avançait un bras dans leur direction. Elle n’était plus qu’à un mètre.
Pétroline avait pris des leçons plus jeune quand elle allait voir son père à la forge. Mais face à ces soi-disant monstres, sa première flèche se planta dans le sol juste à quelques centimètres du premier individu. Elle aurait voulu jurer mais aucun son ne s’échappa de sa bouche. « Tu ne crois quand même pas le bonhomme qui t’a dit que c’était des monstres ! s’exclama Tiphaine, elle qui pourtant était la première à trembler tout en les observant s’approcher. Ils… C’est… C’est une farce, hein ? C’est bientôt la fête des fous et… ils se sont tous déguisés… pour nous faire peur… Hein ?
- J’aimerais bien le croire.
- Il le faut ! Regarde, la femme là-bas, avec son gros trou dans la poitrine. Elle devrait être morte mais elle ne l’est pas… Il y a forcément un truc ! »

Le temps qu’elles parlent, la petite fille se saisit soudain du bras de la petite brune et la tira vers elle, ses dents pourries prêtes à frapper. Tiphaine hurla, ce qui motiva la horde à se dépêcher. Pétroline attrapa les cheveux blonds de la gamine et lui colla une baigne là où il y avait encore de la chair. La petite tomba et le choc avait laissé un présent peu ragoûtant dans la main de Pétroline : une poignée de cheveux empoissés de sang et de pus. Elle s’essuya sur sa tunique verte.
Encochant une deuxième flèche, elle ne manqua pas sa cible, cette fois-ci. Le projectile atteint la femme à la poitrine trouée au niveau de l’omoplate. Elle ne s’arrêtait pas. Une troisième flèche l’atteignit en pleine tête. La chose s’écroula.
Oui, désormais Pétroline savait que ces gens n’étaient plus des gens. Le sang qui coulait de leurs plaies nombreuses, la plupart mortelles, était presque noir. Un sang de démon. Ce n’était certainement pas humain. La grande rousse prit la main de Tiphaine et ensemble elles coururent vers une rue adjacente.

Dans le présent…

Pétroline titubait, son arc pendouillant dans sa main. Elle avait traversé l’énorme distance qu’il y avait entre Noghal et le secteur des technopolitains en quelques jours… Se cachant ici et là, mangeant ce qu’elle trouvait, récupérant les précieuses flèches sur les cadavres des monstres…
La solitude lui pesait. Elle l’aurait difficilement admis il y a encore quelque temps, et pourtant… Tiphaine…
Une des créatures surgit sur sa droite alors qu’elle dévalait une ruelle. Elle envoya vivement son coude dans la bouche d’un homme bedonnant qui n’avait plus de nez. Il se retrouva coincé dans l’étroite ouverture d’où il avait jailli. Cette scène lui sembla dérisoire et toutefois elle ne se permit pas de sourire. Sourire, ce n’était pas son truc. N’ayant pas assez de recul pour lui envoyer une flèche, elle en prit une dans son carquois et la lui planta directement de sa main dans un œil. Elle enfonça, enfonça, tout le sang poissait sa main mais elle s’en fichait. Enfin mort, il restait coincé. Elle récupéra sa flèche, la nettoya avec un pan de sa chemise et s’en fut vers un horizon qui lui était encore inconnu.

Deux jours plus tôt…

Tiphaine gisait à ses pieds, gémissant de douleur dans en tenant le moignon de la main qui lui avait été arrachée plus tôt par un des monstres. Pétroline l’avait tué mais il était trop tard. Le mal envahissait son amie et elle ne pouvait rien faire. Leur pouvoir, dans cet immense chaos, n’avait pas son utilité ni sa place. Pétroline avait peur qu’en invoquant l’une de ses chimères, elle ne se fasse mordre à son tour. Elle ne savait pas si une telle morsure aurait des conséquences sur une créature magique et elle n’avait d’ailleurs aucune envie de le savoir. Il ne fallait pas tenter le Diable.
Pétroline s’agenouilla près de Tiphaine et lui prit sa main valide. Elles s’étaient trouvé un abri dans la remise d’une boutique qui vendait des bibelots en tout genre. Il faisait sombre mais la grande rousse voyait parfaitement les larmes couler sur les joues crasseuses de son amie. Elle aurait voulu pleurer aussi, mais rien ne vint. Il n’y avait que la haine qui l’aidait à ne pas s’effondrer.
« Je vais bien. Ne t’en fais pas. Va-t-en, n’arrêtait pas de lui dire la petite brune entre deux faux sourires confiants.
- Ne rêve pas trop. Je vais te sortir de là, Tiph. On va trouver un moyen de te soigner.
- J’y crois pas, Pétro. Si un remède existait, tous ces gens seraient guéris depuis longtemps. Personne ne semble vouloir nous sauver… »
Elle toussa. Pétroline resserra sa prise sur sa main. « Il faut que tu me tues, Pétro… balbutia Tiphaine au bout d’une minute. Sinon, je vais devenir comme eux…
- Non ! Ne me demande pas de faire ! s’indigna la grande rousse.
- Il le faut ! insista l’autre. Je ne veux pas être un monstre assoiffé de chair humaine ! Je ne veux pas m’attaquer à des enfants ! … Je ne veux pas te faire du mal ! »
La petite brune se mordit la lèvre, ravala un sanglot et fixa ses grands yeux dans ceux de son amie. « Tu sais que je t’aime.
- Ne dis pas ça. Tu continueras de me le dire si tu te relève.
- PÉTROLINE, NE FAIS PAS SEMBLANT DE CROIRE QU’IL Y A UN ESPOIR ! »
Tiphaine retira brutalement sa main de la sienne et continuait de lui hurler dessus. Le poison qui coulait dans ses veines commençait son œuvre de destruction. Pétroline se leva.

Dans le présent…

La jeune fille ne voulait pas se souvenir des derniers instants de son amie. Elle avait été la seule à la comprendre et à la supporter, et désormais elle était partie. Elle ne pouvait plus rien y faire et ruminer sur cette sombre histoire ne l’aiderait pas à avancer. Mais à quoi bon ? Il lui semblait que toute la population de Range Harbor avait disparu et qu’elle était la seule survivante. À quoi bon continuer s’il n’y avait pas d’espoir de voir l’humanité se relever de ses cendres ?
Des voix s’élevèrent. Elle s’arrêta, le cœur bondissant, puis se rapprocha en catimini pour se cacher ensuite derrière une énorme poubelle renversée. Elle vit alors un groupe hétéroclite attroupé à côté d’un de ces engins motorisés. Il y avait là deux grandes dames à la peau sombre et aux longues oreilles et deux garçons qui devaient avoir à peu près son âge. Soulagée, Pétroline sortit de sa cachette et s’avança vers eux, restant malgré tout sur ses gardes. Ils parlaient, mais qu’est-ce qui lui disait que l’un d’eux n’avaient pas été infecté ?
Elle s’arrêta en plein milieu de la route, sa main serrant l’arc.

[Bon bah j'espère que y'a pas d'incohérences... En tout cas me voilà !]
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Djazz Dickinson

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMer 4 Avr - 14:38

Pansen et Djazz sortirent de la voiture. La jeune femme dévisagea les deux sœurs de haut en bas avant de lâcher un "whouah !" non contenu.
"Vous êtes militaires hein ?
- Oui, et cette voiture est la mienne, répondit celle aux cheveux bleu nuit. On a du matos dedans.
- Sérieux ?! Cette pure merveille est à vous ?!
- Hé ! Ce n'est pas le moment de papoter ! intervint Pansen en saisissant son épaule."

Les elfes noires s'avancèrent et ouvrirent le coffre, s'emparant des armes et du matériel qu'il contenait. Soudain, l'une des elfes s'exclama :

"Putain, Phae ! Y en a d'autres qui surgissent !"

Elles saisirent leurs armes au quart de tour et se mirent à tirer. Djazz resta quelques secondes interdite devant leur calme. Elles tiraient juste du premier coup, prenant leur temps, ne paniquant pas (du moins en apparence...). Puis elle grimpa lestement sur le capot puis sur le toit de la voiture. Pendant ce temps, Pansen continuait à amener le contenu du coffre dans le hall de l'immeuble.

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Tumblr_m1y3kasmi11r3v9yqo1_400

"BAISSEZ VOOOOUUUUS !!!" cria Djazz. Puis elle envoya une rafale à droite, une rafale à gauche, essayant d'amortir le recul du mieux qu'elle put, pendant que les sombres continuaient à dégommer.

"Yeah, crève ! crève ! toi aussi, tu crève ! Whouw !!"

RACATACATACATACATAClick... click ! click !

"C'est enrayé, comment je fais ?!
- Éjecte la munition !! répondit l'une des militaires."

Djazz se rendit compte qu'elle ne savait pas le faire, de plus il ne lui restait que cinq cartouches et les elfes avaient déjà fini la horde.
Pansen, Phaera, Daphné et Djazz se réunirent pour souffler un peu. Daphné débloqua l'arme de Djazz comme on ouvre un pot de yaourt.
Puis la jeune femme regarda Phaera et lui demanda :

"Hey, vous seriez pas Phaera Xarran par hasard, hein ? La seule femme-pilote de l'armée et qui a enchaîné le plus grand nombre de victoires ? V'z'êtes vachement classe."

Soudain Pansen tendit le bras dans la direction opposée et s'exclama :

"Regardez ! C'est un survivant ?"

Djazz se retourna, saisit son arme et s'avança bravement vers la personne. Celle-ci était arrêtée au milieu de la rue. Son arc et sa tenue montraient clairement son identité mage. Djazz braqua le canon vers lui et l'examina. C'était un garçon peut-être du même âge, plutôt mignon mais Djazz s'en fichait un peu.

"Dis quelque chose !
- Je... je ne suis pas contaminé !"

Djazz baissa son arme et son visage se radoucit. A la vue du jeune homme, automatiquement dans sa tête, elle se mit en mode garçon.
"Comment tu t'appelles ?
- Pierin. Je viens de Thalisma.
- Moi c'est Djazz. Viens."

Spoiler:

Elle laissa passer le jeune homme devant elle et ils arrivèrent dans le hall de l'immeuble ou les elfes et Pansen commençaient à monter le matériel.

"Il est en bonne santé ! Deux bras en plus." dit-elle.

Puis le petit groupe monta les armes et la nourriture et s'installa dans l'appartement afin de prendre un peu de repos.



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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyVen 4 Mai - 22:14

Une fois à l’intérieur de l'immeuble les 5 survivants rentrèrent dans un des appartements du 1er étage. Phaera dégaina son arme et la pointa en direction de Piérin:

" Ne bougez plus, afin d'être sûre que vous n'avez pas étés infectés nous allons procéder à un examen. La maladie se transmet par contact physique, alors peut être l'avez vous contracter sans le savoir en luttant pour échapper à ces choses." C'est valable pour vous deux aussi."

Djazz, Pierin et Pansen restèrent interdits.

" Plait-il ?" interrogea Pansen.

"Allez à poil" ! lança Daphné en montrant du canon de son arme la pièce d'à coté.

Pansen fut le premier, il retira sa chemise et son pantalon, ses chaussures et ses chaussettes, Daphné lui faisant signe de garder le reste, et tourna lentement sur lui même.
Ce fut un vrai calvaire, il n'en revenait pas de devoir se plier à cet exercice mais la dame noire était armée.

Après que tout le monde y soit passé Phaera alluma des bougies, la nuit était tombé tandis que l'ambiance , à l'origine glauque, se réchauffait.

Pansen perdu dans ses pensés prit la conversation de cours:

"Mais ils foutent quoi l'armée pourquoi c'est le bordel !?" Demanda Djazz

" Aucune idée les communications sont coupées on a même pas accès à internet ici, tout fout l'camp" Répondit Daphné

La discution continua encore longtemps et il ne sait comment et de qui venait l'idée mais ils en vinrent à parler de comment ils étaient arrivés ici. Ce fut bientôt le tour de Pansen de raconter son histoire:
" Alors je me trouvais dans mon bar..."

"T'as un bar toi ?" coupa Djazz

"Oui la Panacée..." Pansen laissa un moment de silence afin d'apprécier l’étonnement et l'admiration sur leurs visages. Rien. Il reprit un peu contrarié

" Oui donc j'étais à mon bar comme chaque jour à cette heure quand un individu est entrée ! Il criait qu'un type l'avait mordu dans la rue et des inepties à propos des jeunes et des valeurs qui se perdent. Il avait l'air suspect, teint laiteux et yeux exorbités. Pris de pitié je le soigna du mieux que je pu avant de retourner à mes affaires.

De la cuisine je vois tout ce qui se passe dans la salle voyez vous, et je ne vous raconte pas ma surprise quand j'ai vu ce même type tomber de l'étage en plein sur une table ! Il se releva et éventra un des clients qui se trouvait là ! Le sang recouvrait les murs ! Ensuite il se mit à dévorer l'individu par les intestins ! Mon personnel à bien tenté de l’arrêter mais l'un a perdu ses doigts et l'autre, Sophia, a carrément eu la gorge déchiré ! Bref à ce moment mon assistant de cuisine a paniqué et a oublié de fermer le gaz or c'était de l'oxygène qui sortait des masques. Quand j'ai sorti mon fusil à pompe et que j'ai tiré le bar s'est enflammé et... Je suis parti... J'ai tout perdu..."

Puis ce fut au tour d'un autre de parler. La discussion se conclu comme ceci:

"Pour cette nuit l'immeuble est grand prenez l'appartement que vous voulez."

Phaera parlait bien. Pansen se leva pour voir s'il n y avait rien à prendre dans les chambres, Daphné lui dit qu'elles avaient déjà regardé mais Pansen l'ignora. Il passa d'appartements en appartements et prit du parfum, des déodorants, quelques bijoux, du savon, des produits de beauté, des détergents et autres produits d'entretiens. Elles avaient déjà fouillé hein ?
Quoi qu'il en soit, il entra dans la chambre 156, comme à chaque fois il entrait dans chaque pièce et ouvrait les tiroirs.

Spoiler:

Dans la chambre il vit un cadavre. Elle était attaché a un lit, immobile. Phaera l'avait prévenu, parfois il y avait des cadavres. Il continua à chercher, se souciant peu d'être silencieux quand une faible voix s’éleva derrière lui.
Se changeant en râle de plus en plus bruyant, Pansen se retourna vivement. Elle avait bougé. Comment se fait il que l'une des deux elfes ne l'ait pas vu plus tôt ? Peut être simplement parce que la morte n'avait pas bougé à ce moment là ?
Elle était là et elle bougeait autant qu'elle pouvait son seul bras libre et ses jambes engourdis.

Pansen ferma la porte personne ne devait l'entendre.

*Bien c'est l'occasion parfaite... Je dois le faire*

Il sortit son couteau et mis en poudre certains médicaments qu'il avait trouvé, s'approcha de la victime afin de simplement projeter le tout dans sa gueule grande ouverte.

Spoiler:
-1/4 d'heure plus tard la bête n'ai toujours pas calmé.

* Ok note mentale je n'ai pas réussit à l'endormir, je n'ai pas les bons outils mais il faut que je continu quand même. Je vais pratiquer une légère incision dans le bras afin de m'assurer de sa réactivité

Spoiler:

- Elle ne semble pas réagir, je vais inciser plus profondément... Aucune réaction. C'est comme je le pensais, la chair est pourrie, ça se voit à l’œil nu, elle ne ressent probablement plus la douleur. Cela va faciliter ma tache.

Spoiler:
- J'ouvre franchement, je vois le grand palmaire, les fléchisseurs, le cubital antérieur... J'ai tranché son biceps et ses tendons afin qu'elle ne bouge plus. Ses muscles pourrissent, tous les tissues semblent contaminés mais elle continu de bouger.

-Son flux sanguin est nul, le cœur ne bat plus. Sa cage thoracique ne se contracte plus, elle ne respire plus. Même si elle le faisait, sans cœur pour permettre à l'oxygène de circuler se serait inutile. Au moins je sais que la maladie ne se transmet pas par voie aérienne. Si elle bouge c'est que le cerveau continu de fonctionner, mais est-ce possible s'il n'est pas alimenté en oxygène ? Allons voir ça de plus près...

- Je n'ai pas les outils pour ouvrir la boite crânienne, je vais devoir la percer au hasard à coups de couteau. Il faut que je fasse attention à ce que les éclats d'os ne me blessent pas je vais me couvrir le visage.

- Premier coup, cette zone est celle du langage. Elle bouge encore alors cette zone est morte. Deuxième coup les souvenirs, troisième coup zone de la mémoire à long terme. Tant qu'elle ne meurt pas cela signifie que la zone ne fonctionne plus. Quatrième coup l'audition...*


Elle s'arrête de bouger.

* Alors ils nous entendent... Si l'audition marche quels autres sens ont-ils conservé ? Maintenant qu'elle est morte je vais pouvoir examiner son corps dans sa totalité. Mais faisons une pause, le temps que je me repose le bras et que j’étouffe mon envie de vomir.
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Kedran Ellahkir

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMar 8 Mai - 22:09

Je marchais depuis plusieurs heures. La soif commençait à m’harasser en plus de la fatigue et de la faim. Heureusement sur le chemin j’ai réussi à trouver une supérette où j’ai pu voler quelques trucs. Mais a-t-on encore utilité de la notion de vol pour qualifier un geste de survie, surtout en milieu zombie? Mon dieu ce n’est pas bon je commence à trop réfléchir, cette situation devient vraiment grave !

Par chance aucun zombies dans la supérette, j’ai pu me sustenter tranquillement. Mais en sortant les soucis commençait à se faire sentir. Deux individu masculin, encore à peu près identifiable, s’approche en boitant en direction de ma position. En attendant de voir si ce ne sont pas seulement des humains rescapés en quêtes d’un lieu de survie, je prends en main mon Desert Eagles. Malheureusement il ne me reste que 2 balles et je n’ai plus ma machette... JE dois vraiment revenir au plus vite chez moi récupérer des munitions, de l’armement ainsi qu’un véhicule pour pouvoir tranquillement me barrer de là....

Je ne cherche donc pas à savoir si ces gens sont vivant ou non et je me barre en courant. Je dois me dépêcher car la nuit ne va pas tarder à tomber et je ne veux pas hacher mes balles, par chances ils ne m’ont pas remarqué. Sans doute finalement était-ce des non-vivants.

***

Enfin j’arrive dans mon quartier qui étrangement n’a pas trop changé de gueule. En dehors des voiture un peu destroy et les cadavre de zombies mort ou rampant, il n’y a pas vraiment de changement. C’est pas vraiment le lieu qui avant la crise ne soit très actif. J’étais pénard d’ailleurs à cette époque ici et maintenant je dois quitter cette ville, fait chier !

Je marche tranquillement, la main sur mon arme, et arrive devant mon immeuble. Je remarquais la magnifique bagnole qui stationnait. Je n’avais jamais vu dans le quartier quelqu’un avec ce genre de caisse, elle est vraiment pas dégueu. Je pose ma main sur la carrosserie et je remarque qu’elle est tiède.

- Tiens ? Bizarre...

Je tourne mon regard vers mon immeuble. Est-ce qu’il y aurait des survivants ?
Ni une ni deux je m’avance vers l’entrée et pénètre dans l’immeuble. Quelques minutes plus tard j’arrive dans mon étages. J’avances prudemment, toujours avec mon arme que je tiens fébrilement en priant qu’il n’y ai pas plus de deux zombies et soudain...

BLONK

... Mon pied rentre violemment en contacte avec un seau en métal ... Soudain je remarquais des êtres sortir d’un des apparts non loin du miens. Deux elfes noire. Elle me pointait avec deux armes, charmant accueil. je n’eu même pas le réflexe de lever les bras. A vrai dire j’étais trop heureux de voir des vivants pour me rendre véritablement compte qu’elle pouvait me tirer dessus. Soudain l’une des elfes noire, celle aux cheveux plus court que l’autre et surtout pas bleu me demanda ...

- Êtes-vous de la race humaine vivante ?!
- Négatif. Je suis une mite en pull-over.
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Pétroline Herriot

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyJeu 10 Mai - 19:32

A l'entente du « Allez à poil ! » que gueula l'une des deux elfes, Pétroline se pétrifia.
Si elle se montrait réticente à l'idée de se déshabiller, ils trouveraient tous son comportement étrange ; si elle acceptait, elle risquait de compromettre son secret. Même en période de crise, quelle que soit l'ampleur de cette crise, elle refusait qu'on apprenne quel était son véritable sexe. Etait-ce de l'orgueil ? De la bêtise ? Peut-être bien des deux, mais elle s'en fichait.
Or, paradoxalement, elle se sentait presque en confiance face à la présence des deux elfes à la peau sombre qui, malgré leur sexe féminin, agissaient comme des hommes, et cela de façon très naturelle. Pétroline se décida une fois que les deux autres eurent fini ; elle s'exécuta sans broncher, espérant simplement que les bandelettes qui maintenaient sa poitrine à plat ne la trahiraient pas. Le fait qu'elle gardât son débardeur ne choqua personne, ce qui la rassura. Lors de l'examen, aucun d'eux n'émit le moindre commentaire. La vérification avait quelque de formel, c'était quasi militaire. Cet aspect, Pétroline l'apprécia.
Puis, à la suite de Pansen, elle parla de son propre calvaire pour arriver jusqu'ici, en omettant toutefois l'existence de son amie défunte. Chacun s'attribua un appartement, suite à l'ord... enfin à la volonté de la dénommée Phaera. Celle-ci et sa sœur étaient les seules qui occupaient le même appartement, et ce afin de veiller l’une sur l’autre et ainsi limiter le risque d’attaque durant leur sommeil. Pétroline, comme quand elle était en présence des deux elfes, ne se sentait pas très à l'aise dans cet univers technopolitain. Elle put tout de même se trouver un appartement à sa convenance, à la fois sobre et clair. Le lit était confortable, c'était tout ce qui importait, après tout – et d'avoir à manger et à boire, bien évidemment. Mais la jeune fille ne put s'endormir : elle n'oubliait ni les créatures rodant toujours dehors, ni la tragique fin de Tiphaine. Elle tenta bien de fermer les yeux et de ne plus penser à rien, mais ça ne marchait pas. Alors elle se leva et commença à arpenter les couloirs de l'étage où ils avaient trouvé refuge. Elle croisa Djazz, avec qui elle discuta un peu, et qu'elle trouvait plus sympathique que les autres – quoi que celui qui s'appelait Pansen n'avait pas l'air bien méchant non plus. Puis, au détour d'un couloir, elle tomba sur l'une des sœurs, Daphné, qui était en train de patrouiller. « Euh, est-ce que vous auriez une corde, ma dame ? demanda-t-elle après avoir rassemblé son courage.
− Pourquoi ? répondit l'elfe en relevant l'un de ses fins sourcils.
− Je crois bien avoir une idée, mais je préfère vous l'expliquer après avoir essayé.
− … Nous avons bien une corde dans le pack que nous transportons ma sœur et moi, mais elle fait plus de trente mètres de long. Ça sert surtout quand on veut descendre en rappel si aucune autre sortie n'est envisageable à prendre.
− Hum, c'est vraiment long, en effet... Vous n'avez vraiment rien d'autre ? »
Daphné parut réfléchir un instant, sourcils froncés. « Ah, j’crois que je pourrais avoir quelque chose de plus intéressant. Suis-moi. » Ne se faisant pas prier, la jeune fille suivit l'elfe jusqu'à l'appartement où elle et sa soeur s'étaient réfugiées. Là, Daphné fouilla dans un sac et en sortit un filin en métal d'une bonne dizaine de mètres. « C'est mieux ? Par contre c'est encore un peu long, je crois...
− Non, ça me semble bien, dit Pétroline en prenant le filin.
− Ce truc fait partie du pack militaire attribué à chaque soldat. Il est super résistant et rétractable, à ce qu'il paraît. C'est une nouveauté.
− Alors c'est d'autant mieux pour ce que je veux en faire. »
Et avant que Daphné ne reposât la question « Mais tu veux en faire quoi ? », Pétroline se hâta jusqu'à son appartement. Djazz la découvrit assise sur le sol en train d'attacher le filin à un bout d'une de ses flèches, quelques minutes plus tard. « Qu'est-c'que tu fais ?
− Si un humain est menacé par l'une de ces créatures, je pourrais utiliser cette flèche quelle que soit la distance. En fait le but c'est d'en toucher le plus possible quand ils sont hors d'atteinte, en hauteur ou à plusieurs mètres. De plus, je crois que les armes cyperpolitaines font trop de bruit... Ça risquerait d'alerter les monstres si on les utilise trop souvent. Et enfin, c'est surtout par économie. Il ne me reste que cinq flèches. Si ça fonctionne, je n'ai plus qu'à tirer sur le filin pour récupérer ma flèche.
− Ouais, pas bête. »
Pansen les rejoignit dans la foulée alors qu'elles discutaient de choses et d'autres, notamment sur les différentes manières de tuer un « zombie », ce qui amusait vraisemblablement beaucoup Djazz. « Eh, venez voir ça » leur dit-il en faisant signe de le suivre. « Les sœurs ont trouvé un autre survivant. Enfin, si c'en est un... ». Un instant plus tard, ils observaient, accoudés à une fenêtre, un étrange énergumène aux cheveux rouges se faire fouiller par les deux elfes. Pétroline admit seulement dans son for intérieur que la scène était plutôt comique.
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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyLun 11 Juin - 23:38

18h30 : trois jours plus tard.

Le rouquin avait été mis en quarantaine pour éviter tout risque : Il faut environ 3 jours pour qu'un corps humain s'adapte à un changement, modification visuelle, infection, transformations etc...

Ce dernier avait accepté les contraintes de Daphné sans trop de résistance, soulignant souvent chaque phrase de la jeune sombre par des propos ambiguë voir déplacé à la situation.

***************

Comme tout les soirs à cette heure-ci Phaera rodait dans les dédales de couloirs de l'immeuble et passait quelques minutes avec les hôtes de ces lieux pour observer de ses yeux si tout aller bien, surveiller tout comportement suspect et récupérer un maximum d'information sur les nouveaux visiteurs des lieux. Elle avait entendue leurs histoires et comment ils avaient fait pour survivre jusque là, la merde dans lequel tous été plongée et l'espoir que chacun priaient pour revoir le monde tel qu'il était.

Par son statu de militaire elle se devait protéger toute la population, même pour une poignée de survivant, pour continuer de faire vivre l'honneur de l'elfe noire qu'elle était , continuant à obéir machinalement aux ordres qu'elle se devaient de respecter.

L'elfe arrive devant la chambre du rouquin, tape deux fois sur la porte, il tape trois fois. La poigné s'abaissa, la porte s'ouvrit et il se présenta avec un grand sourire.

- Beeeeuuuuuuuuuuhhhh ! Braiiiinnn !
-Arrêtez de faire le con ! Trouvez-vous plutôt une chambre, Le repas sera servit d'ici une heure.
-Alors je n'ai qu'à mettre les pieds sous la table ? <3 Si je ne suis pas un de ses mangeurs de chair, je suis bien une mythe en pull-over ! (trololol)


Phaera ne pris même pas la peine de relever cette dernière phrase et avait déjà disparut au fond du couloir.

*************

La sombre entra dans la chambre qu'elle partageait avec sa cadette, cette dernière été allonger de tout son long sur le lit et fixait le plafond passivement, faisant rouler une boite de PBSP entre ses mains.

Elles partageaient leur chambre pour plus de sécurité, premièrement contre la horde de la rue et deuxièmement, contre les nouveaux hôte en qui elle n'avaient aucune confiance. Cet stratégie leur permattait d'obtenir un sommeil plus profond et plus réparateur.

Daphné se redressa hâtivement en apercevant l'ombre qui parcourait toute la pièce.

-Daphy, il serait temps d'optimiser le groupe...
-De quoi tu parles ?
-De former les gens, on ne sait pas ce qu'il se passe chez eux, on ne connait pas leur capacité, des objets disparaissent, d'autre apparaissent. Il nous faut une meilleure organisation, trouver des survivants qui pourront peut-être obtenir une armes efficace ou un remède contre ces choses, lancer des missions à travers la ville pour récupérer des vivre et...
-Attends! Attends! Attends! t'emballes pas, on parle de citoyen lambda, d'étudiants, de gens de bureaux, des taverniers, ils n'ont aucune notion de comment ça se passe sur le terrain.
-Ou alors nous avons des gens spécialisé dans la recherche, la mécanique, le bon moyen d'utiliser des produits, qui, avec une formation plus adapter, pourront développer leur potentiel et nous aider a nous sortir de cette merde.
-Je sais pas, franchement je le sens pas ce coup là... C'est à double tranchant, si ils paniquent ou font les gros boulet, c'est finit.
-Je sais, c'est pour ça que tu les formeras, comme tu l'as déjà fais dans ton commando.
-Oue mais non, pour entré dans le commando il faut une certaine expérience et suivre une des formations physique les plus dur existant.
- « Qui ose gagne » n'est-ce pas ?


A cette phrase Daphné tourna les yeux sur l'épaulette en acier ou était gravé la devise de son détachement : « Qui ose gagne » entourant le dessin d'un crane enveloppée d'un ruban rouge écarlate. Elle sera les poings, se redressa et saisit une grande feuille ainsi qu'un marqueur noire.

-OK on va faire comme ça, je gères la formation et l'avancer du groupe sur le terrain, tu t'occupes de la logistique, des stock et de la stratégie.
-Pour Shillien.
-Pour la déesse !


*************

19h30 : ce même jour heure du repas.

Tout le monde fut convoqué dans le plus grand appartement, comme chaque jour à l'heure des repas. Daphné avait installé un pupitre sur lequel était déposé une grande feuille de papier blanche, un tableau y était tracé. Il y était inscrit le prénom de tout le monde dans la première colonne et différent élément sur la première ligne tel que : métier, rang social, spécialisation, expérience du combat etc...

Pansen commença poser des questions mais fut aussitôt coupé par la sombre qui rester dans un calme militaire, de posture, de voix, de psychologie, tout avait changer en elle. Elle était redevenu ce que l'ont appelait l'élite, ce pourquoi elle était faites, une elfe noire dans toute sa splendeur.

Quand à Phaera, elle était assise plus discrètement dans le fond de la pièce derrière sa cadette, jambe et bras croisé pour montrer à tous qu'elles agissaient toute les deux en duo, que tout ce que disait Daphné fut déjà débattus entre elle, et que le véritable cerveau de tout ce qui se passait a partir de cet instant, c'était elle.

https://www.youtube.com/watch?v=WwVEE4YUPok

-Bien! Vous pouvez manger pendant que je parle, je veux que vous restiez attentif à ce que je dis parce qu'à partir de maintenant nous allons commencer à mener une résistance contre la horde de mangeur de chair qui grouille sous nos pieds. Pendant que j'explique, je ne veux aucune questions, aucun commentaire déplacé et surtout toute votre attention ! OK !?

Ils répondirent d'un signe de la tête.

-OK ! Comme vous pouvez le voir chacun et chacune agis de son coter, cette situation ne me dérange pas, mais elle peut mettre en périls la vie de tout le groupe, donc celle de chacun d'entre nous et émettre le risque de se faire repérer, de perdre l'un des rares endroits ou l'ont peut vivre en sécurité. En agissant en une seule et unique entité, en organisant les tâches de chacun, en accomplissant divers mission à travers la ville, nous auront sans aucun doute plus de chance de survivre, de trouver des vivres, des munitions, des composants et d'autres trouvailles qui nous seront utile dans les prochains mois voir années avenir. Le but premier étant de trouver d'autre survivant, des gens qui seront la clef de cet affrontement et qui nous permettront de sortir de nouveaux, sans craindre de se faire dévorer par ce qui fut autrefois la famille, les amis, l'amour, les gens du quotidien !
Phaera et moi prenons la tête du groupe, et je le dis tout de suite, si cette situation déplait a l'un d'entre vous qu'il sorte de cette immeuble ! Nous n'aurons aucun bénéfice à la suite de ça, nous partagerons la même nourriture, le même confort, mais étant militaire de carrière et donc ayant eu la formation et l'expérience adéquate à cette situation, il est de notre devoir de prendre ces responsabilités. Je gérerai votre formation sur le terrain, vous apprendrez à vous servir d'une arme et j'organiserais l'avancer du groupe en milieu hostile, Phaera s'occupera des stocks, des missions et de leur but, des endroits ou nous devons agir, bref de toute la stratégie. A partir de maintenant vous devenez des militaires, il serait donc préférable d'agir ainsi et de faire avancer tout le monde dans une harmonie destructrice !


Elle plaqua fermement la main sur le tableau.

-Je veux que chacun réponde a mes questions, pour que l'ont puisse connaître vos expériences, vos capacités à effectuer tel ou tel actions, si votre présence dans l'immeuble et plus adéquate à celle du terrain, si vos capacités combleront un manque dans le groupe.
Pour finir, et je préfère le préciser pour ces messieurs, les femmes seront interdite de terrain une semaine par mois pour les raisons que vous connaissez tous, nous préférons éloignez tout les risques possibles d'une prise en chasse par l'ennemi.
Bien ! Si vous avez des question, des suggestions, des commentaires à faire c'est à votre tour, nous sommes dans un pays démocratique il en va de même que notre politique suivent ce chemin.

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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMer 11 Juil - 23:26

*Une harmonie destructrice, nan mais n'importe quoi ! C'est bien ce que je craignais il a fallu que ces militaires prennent le contrôle des opérations... Avec ces gens là tous les immortelles risquent d’être éradiqués avant même qu'on ait pu trouver un moyen de les canaliser, de les soigner. Je dois dire quelque chose*

Se levant Pansen pris la parole:

" Excusez moi, pourquoi est ce que c'est vous qui donnez les ordres ?"

-Parce que l'on est militaires et qu'on a reçut une formation pour ce genre de crise comme je viens de le dire. D'autres questions aussi futés ? Répondit la plus jeune des elfes.

- Pour des crises de ce genre ? Je veux dire, une harmonie destructrice sérieusement ? Une des règle fondamentale de l'alchimie dit qu’avant de détruire il faut comprendre. C'est la base de la transmutation même les enfants savent ça.

L'elfe qui était assise prit la parole, anticipant la réaction de sa sœur, pour dire

" Développe"

* Il faut que je les amène à penser que je suis de leur coté tout en montrant que je m'oppose à eux, ainsi elles me feront confiance et les autres personnes qui partagent mes idées se rallieront à moi*


- Il faut procéder à des expériences... On capture une ou deux de ces... choses et on pratique à des tests, on localise leur point faible, leurs points forts, les méthodes de transmission de l'agent parasite et dans le meilleur des cas un remède.

La militaire derrière le pupitre s'enquit:
- Parce que tu pourrais trouver un remède ? Je pensais que tu étais un tavernier ?

- Oui en effet... enfin, avant tout je suis un alchimiste je... oui je peux essayer...

- Tu peux le trouver ce remède oui ou merde ?

- Je peux essayer... J’essaierai !

- Ok répond à mes questions: Est ce que tu as déjà suivie un entrainement physique poussé en d'autres termes est tu sportif ?
As-tu déjà tenue une arme dans tes mains ?
Sais-tu tirer ?
As-tu déjà tué un autre être humain ?
Tué un de ces morts vivants ?
Sais-tu conduire ?
Quelle est ta spécialité ?
Et pour finir est ce qu'il y a quelque chose que l'on devrait savoir sur toi ?

Pansen répondit instantanément à la fin de chacune des questions qui sortaient de la bouche de Daphné:

- Alors euh non, oui, non, non, non, non et ma spécialité ? Mmh je fais des médicaments et des drogues... selon la législation on peut dire l'un ou l'autre.

Pansen marqua une pause avant de répondre à la dernière question

* Un truc à savoir sur moi ? Que vous devriez vous méfiez, parce qu'à la première occasion je prend le large avec un moyen de locomotion et de la nourriture*


- Oui que je ronfle la nuit et que j'ai le sommeil lourd ! Enfin il parait, c'est ce qu'on m'a dit. Je n'ai jamais pu vérifier puisque je dormais...

"C'est noté à qui le tour ?" S'enquit l'elfe derrière le pupitre.
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Djazz Dickinson

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyJeu 12 Juil - 17:22

Après l'arrivée du gars aux cheveux rouges, Djazz s'était choisi un des appartements. En fait, elle en avait de suite trouvée une à son goût : probablement le studio d'un jeune adulte, rempli de posters, de CDs et de vinyles de collection, de DVD (elle n'aurait pas mit longtemps à comprendre le fonctionnement du lecteur s'il y avait encore de l'électricité). Le lit était tout mou, ce qui lui avait rappelé la piaule de son frère. A cette pensée, elle avait été prise d'un terrible chagrin, mais refusant d'admettre ses faiblesses la jeune femme s'était plongée dans un jeu tout en petits carrés pour oublier ses noires pensées.
Lorsque le dernier envahisseur fut tué et la batterie déchargée, elle se tourna vers une pile de comics. Elle en oublia la gravité de la situation jusqu'à ce que les elfes noires rameutent la troupe dans le grand appartement.

Elle se trouva donc affalée sur une chaise, ses bottes poussiéreuses négligemment posées sur la table. Elle tenait à la main une gameboy trouvée dans un carton et appuyait sur tous les boutons en écoutant les militaires. Elle ignora l'air consterné de l'archer qui lui, semblait bien élevé ainsi que le regard dédaigneux du chirurgien alchimiste. Elle avalait sa nourriture sans se soucier des miettes qui tombaient, en gros, elle mangeait comme un cochon. Vu la situation, elle n'allait pas faire d'efforts, quoiqu'on lui dise.

Djazz écoutait avec la plus grande attention les militaires, car bien que détestant l'autorité elle se doutait que tout reposait sur elles désormais. Elles étaient entraînées, lucides et efficaces, et puis, la garçonne avait remarqué la phrase gravée sur l'épaulette de l'une des sœurs. Elle retournait la devise dans sa tête, ne cessant de penser que c'était le mieux à faire, en toutes circonstances. Oser. C'est ce qu'elle faisait et, si elle n'avait pas toujours gagné, elle n'avait "presque" rien perdu.

Bref, toute cette série d'éléments avaient forcé Djazz à ressentir un profond respect pour les militaires, chose inédite jusqu'à présent. Mais alors qu'elle se donnait l'air nonchalant et décontracté, elle ne cessait de penser à Billie. Elle ne comptait pas larmoyer auprès des Xarran pour de l'aide, mais suivre leur entraînement à la lettre pour aller le chercher seule.

Lorsque l'alchimiste parla, elle ne put s'empêcher de le dénigrer intérieurement.

*Pauvre idiot ! Mais y a rien à comprendre. Faut dépoutrer un max et se tirer de là. Tu veux mourir c'est ça ? Ben vas-y, crève. Je pourrais bouffer ta part.*


Puis lorsque l'une des elfes demanda "A qui le tour ?", Djazz qui était assise à gauche de Pansen, avala cul-sec le reste de sa canette et répondit aux questions.

"- Déjà suivi un entrainement physique poussé ? Sportive ?
- Ouaip. J'ai grandi dans la rue.
- As-tu déjà tenue une arme dans tes mains ?
- Une winchester une fois, mais j'ai pas eu le droit de tirer avec. Sinon, récemment, une semi-automatique. (elle désigna la mitraillette sur le tas d'armes cassées que les survivants avaient déposés par terre le premier jour)
- Sais-tu tirer ?
- Non. J'veux dire, là je tirais dans le tas mais si j'avais qu'une balle pour shooter, ben je raterais la cible. Ça c'est sûr.
- As-tu déjà tué un autre être humain ?
- Nope. Jamais tué d'humains. En revanche, j'en ai abîmé beaucoup et j'ai déjà vu des gens mourir. De manière, euh... assez brutale. (à ce moment, elle avala un morceau de jambon pour éviter de penser à un souvenir douloureux.)
- Tué un de ces morts vivants ?
- Ouaip.
- Sais-tu conduire ? (à ce moment-là, et comme on rentrait dans son domaine de prédilection, elle brandit sa fourchette)
- Un peu qu'je sais conduire, ouais !
- Bien. Quelle est ta spécialité ?
- Le pilotage. J'pilote plein de trucs. Tout et n'importe quoi. J'récupérais des morceaux de bagnoles et de toutes sortes de véhicules et j'fabriquais des aérojets ou des caisses de course et j'faisais les racings clandestins derrière les Docks. Ma dernière course je l'ai gagnée en battant mon record personnel, j'avais fait du 268 kilomètres/heure. A la fin, le moteur a pris feu, mais n'empêche... (elle renifla bruyamment avant de s'essuyer avec le revers de sa manche) Je devais essayer de le battre, j'avais trouvé du matos cyber à Consortium, mais à cause de cette foutue histoire de zombies... "

Alors que la jeune femme prononçait ces mots, personne ne remarqua le sourcil gauche de Phaera qui s'était levé, et que son oreille déjà bien allongée s'était tendue. Mais l'impassible elfe noire ne laissa rien voir de son léger intérêt.

"Ok. Et pour finir, quelque chose que l'on devrait savoir sur toi ?"

Djazz réfléchit. Il n'y avait pas grand chose à savoir, c'était une jeune femme somme toute assez banale, sortie de son contexte. Elle regarda tour à tour Pansen, Pierin et Kedran, et dit simplement :

"Je manipule très bien les battes de base-ball et autres objets propices à péter des crânes. Je veux dire que si vous essayez de vous foutre de ma gueule parce que vous êtes des mecs et que je suis une nana, je vous en met un grand coup dans les couilles."

Elle posa son regard sur eux un instant pour bien leur faire comprendre que toute tentative de machisme envers elle serait étouffée dans l’œuf. Même dans ce genre de situation, on sait jamais. Pas question de lui dire "tu es trop faible pour tuer des zombies".

Quand la militaire se fut assurée que Djazz avait fini sa mise en garde, elle continua l'interrogatoire sur les deux autres survivants.
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Kedran Ellahkir

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptySam 21 Juil - 17:02

Kedran avait maintenant une petite piaule tranquille après sa petite « quarantaine » de rigueur comme disait les Elfes noir. Mais dans le fond il n'en avait que faire de tout ça. Il avait certes trouvé un endroit ou pieuté avec des gens pour maintenir un semblant d'équilibre mental (ce qui le changeait de la cuisine de l'autre soir...) mais dans le fond il savait que c'était toujours la merde.

Il fallait maintenant se bouger le cul. Soit on se bat pour trouver des rescapés et éliminer ses cadavres, soit on se laissait bouffer et attendre que tout le monde pourrisse... Les deux choix était chiant mais le premier au moins avait le fun de laisser place à un peu d'actions bien sympa.

Il fut donc appelé à se rassembler avec les autres où il put entendre comme tous le monde le grand laïus des deux militaire du groupe. Cela le faisait marrer et laissa murmurer dans sa barbe (qu'il n'a pas) :


- Pffff …. Vous avez beau être militaire vous êtes fait de chair et de sang comme tous le monde et ça les zombies n'ont pas besoin d'en savoir plus...

Pile à ce moment la, la plus jeune des deux elfes leva une de ses oreilles. Il semblerait qu'elle l'ait entendu. Il s'en fichait.

Et maintenant voilà le moment des interrogatoire. Pansen commença. C'était … Touchant, se dit Kedran. Porter autant d’intérêt pour ces choses était digne d'un alchimiste. Les alchimiste sont tous dingue dans le fond, eux et leur obsession de recherches, de contrôle sur tout ce qu'il leur est inconnu... Bande de con se dit-il (décidément Kedran aujourd'hui était plutôt du genre antipathique...) .

C'était maintenant au tour du garçon manqué de causer. Et quelle grande gueule, la gamine avait au moins pour elle une capacité de jactance plutôt impressionnante au diapason de sa manie de vouloir se montrer plus forte qu'elle ne l'est...


"Je manipule très bien les battes de base-ball et autres objets propices à péter des crânes. Je veux dire que si vous essayez de vous foutre de ma gueule parce que vous êtes des mecs et que je suis une nana, je vous en met un grand coup dans les couilles."

… Et voilà on y est... Je vois que nous allons en plus devoir faire gaffe à nos bijoux de famille. Décidément cette gamine en a dans le ventre.

L'archer ne semblait pas vouloir de suite se mettre à la tache de l'interrogatoire alors Kedran décida de s'y mettre en levant la main de manière nonchalante, clope au bec.


- Allez m'dames les juges, a mon tour.

Les deux elfes lancèrent un regard méfiant sur Kedran. Elles ne semblaient pas trop aimer les rigolos...

- Est ce que tu as déjà suivie un entraînement physique poussé en d'autres termes est tu sportif ? 

Il tira un tafe de sa cigarette et commença a répondre.

- Yep. Vu mon boulot c'est capital. Enfin mon ancien boulot. J'ai été formé par un mercenaire et j'ai continué dans cette filière. C'est souvent de l’intérim mais je n'avais pas à me plaindre du salaire...

- As-tu déjà tenue une arme dans tes mains ? 

- Bah la réponse à la première question à du vous mettre la puce à l'oreille. Ouaip, Desert Eagles, AK-47, RPG-7 quand j'ai envie de faire dans la dentelle. Sinon les armes blanches ça j'aime bien aussi. Bref j'ai un peu essayé pas mal de chose dans ma carrière.

- Sais-tu tirer ? 

- Vous en avez beaucoup des questions débile ?  A ce moment il reçu un énième regard noir des deux elfes... En fait elle ne cessait de l’interrogé sur un air de vexation quasi perpétuel avec lui... Oui évidemment que je sais tirer et pas que les armes à feu si vous voyez ce que je veux dire ( a ces mots on entendit Djazz frapper dans la table en signe de mécontentement)... HA pardon.... Si besoin ai je sais mettre une balle en plein dans une puce sur le dos d'un chien à 70m.

- As-tu déjà tué un autre être humain ? 

- Hahahahah LOL. J'ai du remplir l'équivalent d'un bon gros cimetière avec tous les contrats que j'ai effectué.

- Tué un de ces morts vivants ? 

- J'en ai éliminé pas mal de ces trucs en effet. J'ai même vécu enfermé dans un pavillon, à l’intérieur de la cuisine... C'était un véritable enfer... La chanson de votre sœur là a côté c'est peanut tellement le râle et les grattements de ses décharnés sont stressant, effrayant et complètement débilitant...

Djazz en rajouta une couche en murmurant un « He bien maintenant on sait d'où viens ta superbe connerie, bouffon » que Kedran ne releva pas.

- Sais-tu conduire ? 

- Je ne suis pas un pilote comme l'autre chieuse mais je sais tout de même conduire.

- Quelle est ta spécialité ?

- Je sais faire un très bon ragoût. La cuisine en générale je sais y faire un peu.

- Et pour finir est ce qu'il y a quelque chose que l'on devrait savoir sur toi ?

Hum... Voyons voyons... HA si. Vos tête ne me revienne pas en mémoire donc vous pouvez dormir tranquille. Je n'ai pas de contrat sur vous … Hehehe.

Il se tourna une fois son interrogatoire finit vers le garçon manqué et lui fit un gros clin d’œil avec un sourire trollesque. Ce que la jeune femme reçu avec énervement et répondit du tac au tac par un magnifique doigt d'honneur.

Au suivant maintenant.
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Pétroline Herriot

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyDim 22 Juil - 17:43

Pétroline commençait sérieusement à regretter d'être là.
L'homme aux cheveux rouges qu'ils avaient ramené dans l'immeuble ne lui inspirait aucune confiance. Il y avait quelque chose dans son sourire qui la dérangeait. Et puis ses allusions, blagues et autres remarques douteuses n'arrangeaient en rien l'impression qu'elle avait de lui.
Pétroline assista quand même aux interrogatoires menés par les deux soeurs. N'aimant pas trop parler d'elle, elle laissa tout le monde répondre, et quand ce fut à son tour, elle alla droit au but, ce qui n'avait pas été le cas de l'homme nommé Kedran. Tourner autour du pot, c'était pas son truc.
- Est ce que tu as déjà suivie un entrainement physique poussé, en d'autres termes es-tu sportif ?
- Je n'ai pas suivi d'entraînement militaire, comme vous le laissez entendre.
- As-tu déjà tenue une arme dans tes mains ?
- Oui, un arc, comme vous le savez. Mais pas d'armes à feu, ajouta-t-elle, voyant venir la prochaine question.
- As-tu déjà tué un autre être humain ?
- Non.
Pétroline ne leur avoua pas qu'elle avait eu un peu de mal au début à tuer ne serait-ce qu'un de ces monstres. La faiblesse ne semblait pas être une option envisageable pour les Xarran.
- Tué un de ces morts vivants ?
- Oui.
- Sais-tu conduire ?
- Non.
- Quelle est ta spécialité ?
- L'invocation. Je suis élève à l'Hecama.
- Quel est ton niveau ?
- Je maîtrise parfaitement les bases et j'ai déjà fait plusieurs stages au Nexos.
Les deux soeurs se regardèrent un instant avant de reprendre :
- Et pour finir, est ce qu'il y a quelque chose que l'on devrait savoir sur toi ?
Pétroline secoua la tête et elle avait gardé les bras croisés durant tout l'entretien comme pour leur signifier "c'est fermé, passez votre chemin". Les deux femmes finirent de prendre des notes. Elles se levèrent ensuite mais Pétroline, surprenant tout le monde, les arrêta d'un geste.
- Croyez-vous que mon pouvoir puisse être utile dans une telle situation ?
La plus âgée eut un sourire un peu hautain qui disparut vite derrière son masque impassible de militaire en mission.
- Ca peut toujours servir.
- Vous n'avez pas l'air très convaincue.
- Écoute mon mignon, intervint vivement Daphné, quand on est cerné par des morts-vivants mangeurs de chair humaine, on n'est pas convaincu par beaucoup de choses. Et...
- Ce que ma chère soeur est en train de t'expliquer, continua Phaera, c'est que tous les moyens sont bons. Si un crayon dans un oeil peut tuer l'une de ces choses, on utilise le crayon. Si une de tes invocations a la capacité de nous tirer d'affaire, ça marche tout comme.
La jeune sombre foudroya du regard son aînée.
- C'était pas vraiment ce que je voulais dire...
- Tant pis. Bon, mon garçon, tout est clair pour toi maintenant ?
- Une dernière question.
Pétroline se félicitait presque d'avoir inversé la situation.
- Si l'une de mes invocations se fait... mordre par un de ces monstres, est-ce qu'il y a une infime possibilité qu'elle se retrouve infectée ?
- C'est une très bonne question, approuva Pansen.
Un regard de la sombre lui cloua le bec. Après quelques secondes d'impassibilité rigide, Phaera répondit :
- Je suis pas vraiment une spécialiste des mages, mais disons que c'est un risque à prendre. Nous verrons en temps voulu.
Pétroline pria intérieurement que ce temps ne vienne jamais.
Un cri s'éleva de la fenêtre entrouverte. Tout le groupe alla immédiatement se mettre à son niveau. Un grouillement se ressentait au bas de leur immeuble. Ils virent avec horreur tout un essaim de zombies s'amasser à sa base. Leur nombre était tel que leurs grognements et leurs gargouillements parvinrent jusqu'aux oreilles des uniques résidents de l'immeuble. Une femme - sans doute la source du cri - avait eu la stupide idée de sortir pour ramasser le doudou de son enfant. Elle se retrouva vite submergée par les morts-vivants. On aurait dit un tas de fourmis.
Les parasites commencèrent à déferler au rez-de-chaussé du bâtiment. Il n'y avait pas d'autres voies. La faim semblait les pousser à agir autrement, à agir au-delà des limites de leur cerveau infecté. Quelque chose les avait mené là. Mais quoi ?

[Un peu d'action, ça vous dit ?]
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Daphné.A Xarran

Daphné.A Xarran


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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyDim 22 Juil - 23:43

https://www.youtube.com/watch?v=uAFjgpuWREM

C'était décidé, Daphné en avait ras-le cul, que ce soit les uns ou les autres, son statut de militaire en prenait un coup, on doutait encore sur ses capacités à diriger le groupe... Ils parlent d'elles mais qu'est-ce qu'il en savent des braves ? Que voulaient-ils ? Des preuves, Une démo? un petit shooting express ? N'ont-ils jamais entendu parler des commandos du Zenith ? L'élite de l'élite, le point clef des mission anti-piraterie que même les plus grande nations craignent... Puis « elle » qui était la pire de tous, celle qu'on a toujours surnommé la faucheuse ou le bourreau du zenith !
Daphné se maitrisait pour être un minimum diplomate, pour ne pas bousculer ce tas de gamin dégénérer... Mais non... Ils en ont rien a foutre, on leur donne la mains et ils veulent le bras, on essai d'être compréhensif, de faire un minimum d'effort pour la survit du groupe et tout retombes sur leurs épaules, on leur en veut pour le petit interrogatoire alors que c'est que pour faire avancer tout ça... Mais merde !

-Bande de con !!!

Malgré la horde qui s'accumuler dans le hall, et le groupe transi en silence dans un coin du salon, Daphné gueula a s'en faire exploser les poumons, elle enfila son équipement de l'EUCY et se dressa face a eux.

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Daphmi10

- Qu'est-ce que vous croyez hein !Vous voulez voir la différence entre vous et moi ! Putin d'ignorant ! Lisez sur l'épaule « Qui ose Gagne ! » et ces quatre lettre là « E.U.C.Y », et ouvrez bien vos mirettes bande de troufion dégénérer je vais vous faire un cours express, ça c'est les insigne de l'élite de l'élite, les commandos du zénith, ceux qu'on appel quand les couillons de votre espèces sont dans la merde !

Kedran s'approcha et tenta de faire taire Daphné.

-Ferme la putin d'elfe noire tu les atti...

Un coup de crosse s'écrasa dans la mâchoire du mercenaire qui tituba avant de se ressaisir pour frapper Daphné, avant que le coup puisse être porté, Phaera arriva dans l'angle mort de l'homme d'arme et écrasa sa paume contre le visage de celui-ci qui s'effondra sonner au sol.

-N'insulte pas la progéniture de Shillien, et encore moins sa descendante de sang pur, la prochaine fois, tu iras directement t'expliquer à elle... Avait-elle murmurer au rouquin

Pendant ce temps Daphné finit de charger ses armes, les empoigna, croqua ses pilules fétiches.

-Putin c'est pas pour ça que j'suis militaire ! Il y a des enfoiré de monstre qui nous bouffe et nous cours après comme une chasse au garenne, et l'autre trou d'cul d'alchimiste veut me faire croire que c'est toujours des être humains, que c'est guérissable ! Non mais il lui faut quoi, on manque de crever dans la rue a cause de ces conneries là ! Non moi j'dis stop ! J'ai pas signé pour ces conneries !

Daphné partait dans un monologue frénétique qu'on ne pouvait plus stopper, elle pointa ses armes vers la nuée d'homme décomposé en bas du hall et pressa ses gâchettes, les armes crachèrent flots de balles en direction des "non vivant".

-C'est simple, le seul mot d'ordre c'est que tout ce qui nous attaque humain ou non est notre ennemie !

Elle chargea le lance plasma de son arme en tournant le dernier cylindre de celui-ci, il s'illumina d'un bleu cyan et noya la pièce d'un sifflement aiguë.

-J'arrêterais cette vague, puis la suivante, et toute celle qui viendront ! J'en ai rien a foutre de vos états d'âme ou de vos façon de me juger, je suis l'élite ! Non mais vous croyez quoi ! Que je me suis permis de me dressait devant vous en tant que leader pour faire jolie ? « ♪♫♪Hola ! C'est moi je suis trop badass je vais diriger le groupe lalalalala ♪♫♪! » Qu'il s'agit de la pire situation de ma vie !? Ha ! Il ne suffit pas de tenir un flingue et de shooter des cible immobile et déjà morte pour se croire indispensable.


Un bruit sourd s'éleva et une aura bleu dévala la pente de l'escalier transformant tout ce qui se trouvait sur son chemin en un tas de matière liquide méconnaissable, certaine d'entre elle continuer à ronger le bois de la pièce avec le crépitement d'une allumette se consumant.
Puis elle chargea le lance grenade, la tira sous le porche de l'appartement qui implosa affaissant toute l'entée de l'appartement et faisant valdinguer des bout de chair, condanant la seul issus que les marcheur pouvait emprunter.

Daphné sauta du premier étage et atterri sur un tas de cadavre au milieu du hall, elle tira quelque balle pour achever les dernière cibles encore debout avant d'arracher un bras en décomposition qu'elle tendis vers Pansen :

- C'est ça que tu veux sauver !? Comment tu compte réparer les lésions infecté par toute les maladies qui puisse exister sur terre, par les champignons, la gangrène ou simplement la chaire pourris ? Vous vous mettez dans un idéal mais faut arrêter de rêver, ici c'est la réalité ! On est dans la merde et faut survivre c'est tout ! Marche ou crève !

Daphné se laissa tomber de tout son poids, jambe tremblante, cheveux devant le visage, à genoux maintenant devant le groupe se tenant sur la rambarde de l'étage au dessus.
A son tour Phaera sauta, posa un genoux à terre et enlaça sa jeune cadette qui avait perdu le contrôle d'elle même, elle passa ses longs doigt fin derrière la chevelure blanche et les caressa d'un mouvement circulair pour apaiser la bête qu'elle venait de faire sortir, ranger la faucheuse du massacre des jungle hostiles. Elle leva délicatement les yeux vers tout le monde et repris :

-Ce qu'essayait de vous dire Daphné c'est que nous sommes là pour vous aidez et non vous mettre des battons dans les roues. Oui nous sommes pour la recherche d'un vaccin ou d'un remède, mais seulement sur les personnes fraichement infecter, oui nous avons vue vos compétence a tous et vous remercions pour l'effort donner, et oui vous êtes indispensable a notre avancer... Mais nous essayons de trouver un futur, alors nul besoin de dresser des barrière ou de montrer quelconque fierté, comme on vous l'a dit, si la situation vous déplait, dégagez, vous êtes ici grâce à nous, vous êtes vivants grâce aux militaire que nous sommes... Nous avons partager nos vivre et notre confort, nous vous avons offert toit et sécurité, nous vous offrons même notre protection, pourquoi ? Parce que nous savons que vous et d'autre survivant avez besoin de nous et que nous avons besoin de vous pour trouver la solution de tout cet enfer...

Elle aida Daphné a se redresser, montèrent par le câble d'ascenseur menant au premier étage

- Sur ceux...

Elles se retirèrent dans leur chambre...
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Pansen LarjGrant

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptyMar 25 Sep - 18:32

Avec le petit questionnaire des sœurs noires, Pansen avait pu se faire une idée sur les locataires avec qui il cohabitait.

Djazz: Elle n'a aucune tenu, est sans gène, mange comme une enfant et parle comme une adulte. Quelle erreur de la nature !

Pierin: Pour un mage il a l'air cultivé. Il n'est pas bavard ça va être difficile de me rapprocher de lui.

Phaera: Elle est diplomate, et bien qu'elle soit militaire elle n'est pas bête du tout. Elle parle souvent à la place de sa sœur, dans le groupe c'est sans doute elle qui a le dessus. Amie ou ennemie cela reste encore à voir.

Daphné: C'est une tête brûlé ! Elle parle plus vite qu'elle ne pense, ou alors elle dit ce qu'elle pense sans se soucier de la réaction des gens.

C'est Kedran qui avait fait la plus forte impression à Pansen, ce dernier ne pouvait s’empêcher d'associer ce personnage à un mot : meurtrier. Il faisait parti de la pire espèce qu'on pouvait trouver dans les bas fonds, le genre de personne qui tue pour de l'argent. Les sœurs ne semblaient pas dérangées plus que ça par cet individu, les autres non plus d'ailleurs. Tandis que dans l'esprit de Pansen cette phrase s'affichait en grand Réveillez vous c'est un assassin ! Mieux vaudrait le laisser à la merci des revenants, c'est tout ce que ce genre d'homme mérite.

Pansen n'eut pas le temps de le maudire davantage quand un cri le tira de ses pensées.
Tout alla très vite, avant qu'il n'ai pu réagir Daphné s'était déjà bardé d'armes et avait commencé à faire gronder ces dernières d'un tonnerre assourdissant. C'était comme des milliers de chevaux galopant sur la pierre, poussant les plus sensibles (Pansen) à appuyer leurs mains contre leurs oreilles. Quand ce fut fini, cela continua. Cette fois ci à l'aide d'une arme que Pansen n'avait encore jamais vu, cette dernière cracha un feu d'une couleur magnifique. Ce crépitement, cette puissance, ce bleu cyan, fut une des choses les plus magnifiques qu'il ait vu. Sur le coup il se retrouvait comme un enfant voyant pour la première fois des feux d'artifices exploser des zombies.
La première question qui lui vint fut: * Qu'est ce que c'est ? Quel gaz peut produire une tel couleur et quel peut être le moyen de combustion ?*

Cette fois c'était fini, la plus jeune sœur était descendu, marchant sur des cadavres réduits a l'état de bouillie fumante, elle tendait un bras vers lui.

Citation :
C'est ça que tu veux sauver !? Comment tu compte réparer les lésions infecté par toute les maladies qui puisse exister sur terre, par les champignons, la gangrène ou simplement la chaire pourris ? Vous vous mettez dans un idéal mais faut arrêter de rêver, ici c'est la réalité ! On est dans la merde et faut survivre c'est tout ! Marche ou crève !

C'était la seconde fois qu'elle s'adressait négativement à lui.
Le simple fait qu'elle se tourne vers lui suffit à lui couper le souffle. Cette elfe était une machine de guerre. Pansen fut un moment soulager de l'avoir de son côté, avant de remettre son cerveau en route et d'analyser les reproches qu'elle lui avait faites.
Elle tomba ensuite, sans que personne ne l'ai poussé.
* Que se passe t-il elle a l'air faible... Qu'est ce qui l'a mise dans cet état ? Est ce qu'elle a été contaminé ??*


Dernière édition par Pansen LarjGrant le Lun 18 Fév - 14:54, édité 1 fois
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Djazz Dickinson

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MessageSujet: Re: [Zombieland] They are everywhere... We're lost...   [Zombieland] They are everywhere... We're lost... EmptySam 16 Fév - 16:25

Tout était allé très vite. Les râles, le plasma, l'escalier défoncé. Le carré plongeant qui pète son câble... Djazz s'avança vers le bord du plancher pour jeter un coup d'oeil au tas de chair en putréfaction. Un peu de poussière tomba sous ses pieds dans le vide. Ils étaient tous alignés fixant les elfes à l'étage en dessous. A côté d'elle se tenait l'alchimiste. Ses questions la firent grimacer et lever les yeux au ciel, puis elle se recula et s'assit sur la table pour observer ses « compagnons » de dos. L'alchimiste. Faible. Le mercenaire. Dommage qu'il soit si con, parce qu'il a quand même l'air de gérer. Par contre sa couleur de cheveux est à vomir. Mais peu importe. L'archer. Djazz plissa les yeux et fit la moue. Le doute à son propos. Passons.

Les militaires remontèrent dans leur chambre, les autres s'agitèrent sans que Djazz ne fasse attention à leurs gestes. Elle s'en foutait royalement, tout ce qu'elle voulait c'est retrouver Billie. Elle se leva, se dirigea vers la fenêtre, scrutant la rue un moment. Elle ne pouvait pas agir, cela la faisait bouillir intérieurement, elle s'en voulut de ne pas être partie à sa recherche avant, car maintenant tout acte personnel serait considéré par les militaires comme égoïste et irresponsable. Ne rien savoir à son sujet risquait d'accélérer son pétage de plombs que la vie forcée dans cette communauté de glandus venait d'amorcer.

L'archer passa à côté d'elle. Elle se leva brusquement et sauta du bord défoncé à celui d'en face pour gagner les escaliers qui montaient à l'étage supérieur. Elle posa un pied sur la marche, se tourna lentement, observa attentivement le câble de l’ascenseur puis fit volte-face et monta. Les marches défilaient, et soudain elle déboucha sur la porte du toit. Elle l'ouvrit, s'avança, monta sur le rebord. La rue, six étages plus bas, semblait faire à peine quelques centimètres de large. Le bâtiment d'en face avait un toit en tuile, lui. Il était plus bas. Djazz contempla Consortium, et les citadelles au loin.

Et eux, là-haut ? Confinés dans leur sécurité, les accès probablement barricadés et protégés par les services sanitaires... c'en était presque insolent. Mais Djazz se rappela que Billie y montait régulièrement et qu'il était possible qu'il y soit en sécurité. Elle se moquait bien qu'on la traite d'égoïste, ou de n'importe quoi d'autre. Il était son objectif.
L'océan. Au delà les terres étaient-elles encore saines ? Pourquoi les militaires ne les emmenaient-ils pas à la base récupérer un moyen de transport aérien pour tenter de repérer les survivants ? Elle ferma les yeux, se balança légèrement dans le vent tendis que le ciel se grisait, appréciant la sensation du vide sous ses pieds. Un léger déséquilibre et elle effectuerait une descente vertigineuse avec réception du corps démembré en bas, sur le trottoir. Le vent dans ses cheveux, rien de plus agréable sensation à son goût. De quoi tout oublier... sauf son frangin.

[Zombieland] They are everywhere... We're lost... Zomb0010

La jeune femme redescendit, s'engouffra dans le studio qu'elle avait investi. Elle fouilla, mais pas de quoi s'équiper pour partir... et pas question d'aller se faire défoncer la gueule par les frangines en allant piocher dans la réserve de matos. Elle retourna dans la cuisine où ils avaient mangé, ouvrit les tiroirs à la recherche de moyens de défense. Après ça, elle irait fouiller les autres appartements.
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