Nom : Xarran
Prénom : Daphné Asura
Age : 23
Sexe : femme
Date de naissance : 22 septembre 234
Nation d'origine: EUCY
Caste : technopolitaine
Classe : Cyberpolitaine
Race : Elfe noir
Lieu de résidence à Range Harbor (nom du quartier) : Cyberpolis
Métier / Rang Social : membre des commandos d'attaque rapide, de soutien et de reconnaissance à bord du bataillon aéroporté Zenith. Troupe envoyé sur le terrains par hélicoptère. Commando également utiliser pour les missile à guidage laser.
Description physique :
Daphné n'a pas beaucoup de différence physique avec sa sœur ainé, même proportion, même taille, même poids … petite on les confondaient souvent l'une à l'autre tant ressemblance était trompeuse.
En grandissant, la sombre garda sa couleur de cheveux d'origine, blanc neige, qu'elle porte au niveau des épaules, ses yeux prirent un ton gris ambré plus ouvert et réceptif que ceux de sa sœur et sa peau est d'une couleur plus intense.
A force d'entrainement son physique devint plus sportif, plus musclé.
Ses vêtements sont également moins vulgaire, restant tout de même dans un style très cyber.
Description psychologique / caractère :
Daphné est la sœur la plus intime de Phaera, sa meilleur amie ainsi que sa confidente et vis versa. Elle à hérité du caractère provocateur et aguicheur de sa sœur et de sa mère. Sauf que celle-ci ne le cache pas derrière l'étique quasi parfaites des elfes noir de sang pur (descendante de clan), et n'hésite pas à en faire usage dans sa vie de tout les jours.
Daphné à garder son caractère enfantin/lolita, du moins lorsqu'elle est vêtu d'un habit civil. C'est un moyen pour elle d'oublier et de ne pas ce faire oublier, un moyen de marquer les esprits si un jour elle venait à disparaître.
Elle aime, comme tout les gens de sa race, amuser son esprit pervers et sadique au grand malheur des hommes et femmes qu'elle croise sur sa route. Grâce à cela elle pense à autre chose que la guerre et des trop nombreuse vie qu'elle à éteint.
Les seuls chose qu'elle respecte sont sa sœur, sa mère et les armes.
La prise de PBSB durant ces dernières années, à fortement affecter son équilibre mentale dans sa vie de tout les jours, elle se montre plus agressive, plus égoïste, plus détestable. Ses insomnies la rendent mois réceptive et plus distraite.
«[...] Sous la prise du PBSP, cette femme n'a plus rien d'humain. Elle devient tel le spectre de la mort, une faucheuse perdue dans notre monde... Et, lâché au milieu de ce champ de vivant, elle se prépare à une nouvelle moisson, emmenant sans aucun scrupule des centaines de personnes dans le pays de la mort... »Rapport d'un ancien camarade d'infanterie...
Aptitudes / Points forts - Limites / Points faibles :
Point fort :
Experte en camouflage, bonne tireuse à courte distance (pistolet, mitrailleuse, fusil... Excelle dans la discipline du Shil'Khad'Oth Xarran (chaque clan possède ses techniques). Physique avantageux, force physique et endurance importante, bonne stratégie instinctive. La prise de PBSP la rendent beaucoup plus dangereuse.
Point faible
Elle attire les problème comme sa sœur. Elle à tendance à trop faire attention a son physique, elle est facilement détestable, elle possède un vocabulaire grossier voir vulgaire.
La prise de PBSP affecte son équilibre mentale et physique, elle devient paranoïaque, subit des hallucinations, fait des cauchemars de passage plus ou moins sombre de sa vie.
Histoire
Je suis maintenant au service de l'armée depuis cinq ans. Parce que mère le voulait et, de ce fait, je n'ai eu d'autre choix. Heureusement sœur m'a toujours soutenu, elle était toujours la pour m'apprendre, pour me faire évoluer, pour me motiver.
Ainsi j'ai put monter en grade. Qui aurait cru qu'une sombre tel que moi serait à la tête de ce commando d'élite ? Le fleuron de l'armée. C'est ce que j'aurais put dire il y a une semaine, lorsque je pouvais encore raconté cette histoire à d'autre fille de Shillien.
Mais cela fait maintenant une semaine … Une semaine que nous rampons pour eux... Pour la famille, pour la patrie, pour la paix... Nous rampons dans cette boue, dans cette atmosphère humide et dans cette jungle qui n'en finit pas... puis ces cris derrière nous, ces hommes, de ceux qui ne ressemblent en rien à une infanterie mais en porte tout de même le nom... Je suis fatigué, j'ai faim, l'humidité ronge ma peau offrant quelques plaies ouverte aux maladies de la région... Ces plaies qui me démangent, qui me piquent...
Un camarade est tombé hier, mais je dois continuer, je dois les motiver pour accélérer le pas... pour enfin rentrer... La mission était pourtant accomplie … Mais il fallait trouver une zone ou l'hélicoptère pouvait atterrir... Dans cette jungle... Qui n'en finit pas...
Et mes camarades râlaient, à cause de la fatigue, de la faim et de la soif... Mais temps qu'ils râlent, c'est qu'ils vont bien... tant qu'il râlent, ils vivent... Alors râlez camarades ! je supporterais ce que vous avez à dire pour notre salut. Défoulé toute votre colère sur moi si il le faut ! mais avancez ! Toujours et encore avancer... Nous devons vivre....
Les cris de l'ennemi approche... Et plus ils approchent, plus la peur est grande.... Nos corps ont déjà supporté une semaine de ce traitement... Ce traitement qui nous rend si fort, si sur de nous... Ma poitrine est douloureuse, chaque battement de mon cœur me fait souffrir, mon corps est fatigué de ce médicaments... Il me supplie de l'arrêté... Il ne réagis plus à une simple dose... Pour continuer à avancer, pour ne surtout pas m'arrêter, je saisis trois de ces petites capsules et les croque....
Le pas deviens plus léger... Malgré l'équipement que je porte et la route primitive que nous parcourons nous progressons sans difficulté... Mes douleurs s'estompent suivit de la faim, de la soif et de la fatigue... Mais ne nous leurrons pas, le retour à la réalité sera d'autant plus violent... Alors nous courrons, nous courrons pour échapper à cette mort certaine....
***
Enfin la nuit... à travers l'immense toit de cette forêt on ne peut voir les étoiles... En plus de nous dévorer, elle nous interdit de prier nos Dieux et d'espérer... Elle est comme une prison... Comme l'une de ces plantes carnivore nous enfermant délicatement et nous digérant lentement....
***
Nous avons finit par semer la troupe ennemi... Enfin... je me suis installer sur un terrain sec, j'essaie de détendre mes muscles et de sécher mes vêtements.... Je veux sortir de cette humidité... Mes pieds me font souffrir... Je retire ce que l'ont peut encore appeler une chaussure.... Ce qu'il y avait dedans ne ressemble plus à ce qu'il était a l'origine, des corps étranger ont poussé dessus, la peau se détache en lambeau, les plaies ne saigne plus rouge.... Et ils puent... Ils puent la chair en putréfaction, l'odeur de la mort...cette mort qui nous poursuit...
***
Je n'ai pas réussi à dormir... L'aube se lève et nous devons partir avant de perdre notre avance... je ne sais pas comment, mais j'arrive à avancer, mes pieds me font souffrir et derrière chaque pas quelque chose d'humide éclate dans ma chaussure... J'ai faim... Peu importe ou je regarde, rien ne se mange, tout est poison dans cette jungle... Cette jungle qui n'en finit pas...
***
Enfin l'espoir que nous attendions tous... Juste derrière ce petit ruisseau un village de paysan... Quelques chose s'empara de nous ! une sorte d'euphorie, le goût de la liberté ! Dans un ultime effort nous courrions à découvert !
Un nouveau camarade tombe... Alors on se couche dans l'eau... Une eau glacial, comme la mort... Une arme à feu l'a habitus... Mon corps ne réagis plus, il est à bout de force... Un camarade me cri de me mettre à couvert ! Mais je suis fatigué, j'ai faim, j'ai mal... La mort me libérera sans doute de cette souffrance... Une balle s'écrasa juste devant mes yeux... J'imagine la mort... J'ai peur... je ne veux pas... Je ne sais par qu'elle miracle, mais je suis parvenu à les rejoindre en sécurité...
C'était notre dernière chance, il ne fallait pas la rater... Il fallait tout donner... Alors cette fois, je croque cinq pilules manquant de faire un malaise... La je n'était plus aux commandes de mon propre corps... Machinalement il prit mon arme et la pointa en direction du village... Le premier coup fit mouche et l'unique soldat fut abattus... La suite... J'aimerais l'oublier... Pourtant elle est gravé là et me suis partout... Mon corps réagis seul... Il se lève et avance lentement en direction du village arme au poing... Tout ce que j'aurais put donner par amour... Trop tard... Je sens la gâchette plier sous la simple force de mon doigt, et j'entends cette mitraillette grogner inlassablement... Sur ces femmes, ces enfants, ces vieillards... Des innocents... Mais elle grogne et je n'ai pas la force de l'arrêter...
Enfin elle se tait, je n'ai plus de munition... Il ne reste plus que des corps inanimée... Je ne voulais pas … Pas ça... Je sens la présence de quelqu'un derrière moi, ma main saisit mon colt et la pointe sur une cible... Elle ressemble à une enfant, si pur, si innocente... Elle me regarde, elle pleure, elle me supplie... Mon doigts n'est plus miens... j'essaie de l'arrêter mais il est plus fort... Il pli... La balle se logea entre les deux grands yeux de la gamine et ressorti derrière ses long cheveux brun... Son corps tomba de tout son poids dans un vacarme insoutenable.. Un bruit terrifiant, sourd, silencieux, mort...
la sombre se réveilla en sursaut, le souffle court, un bourdonnement assourdissant dans les oreilles. Il lui fallut dix bonnes minutes pour réaliser qu'elle était dans sa chambre et pour reprendre son calme. Encore se cauchemar. Il faisait chaud, son cœur battait à cent à l'heure, son corps tremblait... Elle se leva et passa un coup d'eau froide sur son visage, puis se dirigea dans la cuisine ou était rangé ses PBSP. Elle saisit la boite, cette dernière glissa de ses doigts à cause des tremblements... Elle se fracassa à ses pieds, ses pieds encore meurtrie par cette époque. Les tremblement était trop violent et ses jambes ne les supportaient pas. Elle s'assit au sol devant la grande baie vitrée de l'appartement admirant passivement le contraste saisissant entre les lumières de la ville et les ténèbres de la nuit...
En voyant ce spectacle éblouissant, je me demandais ce que ça faisait de mourir... est-ce que l'ont ressentait encore des choses ? Y avait-il quelque chose de plus merveilleux comme écrit dans tout les textes religieux ? J'ai entendue des gens parler de cette immortalité, mais je l'ai pas encore vue...
Dans le reflet de la vitre elle crut apercevoir le reflet de quelqu'un, son teint était pâle, translucide. Pieds nus elle s'approcha lentement de Daphné, ses vêtements usé par le temps semblaient flotter dans l'air. Enfin elle put apercevoir distinctement le visage de l'enfant... C'était la même gamine d'autrefois, celle qu'elle n'avait put sauvé... Sa voix douce, pur et innocente résonna dans sa tête...
« Daphnééééééé... »
J'étais en route pour un délire à deux balles... J'avais peur... J'avais peur de toucher la mort qu'il y avait en elle... j'avais peur que tout ceux pour qui j'ai presser ces détentes viennent me chercher... Mes mains et mon esprit sont couvert par le sang, la boue et la mort...
« Daphnnnnéééééééééé... »
La ferme ! s'il te plait ! Je voulais pas... Je te jure je voulais pas...
« Daphné ! »
La sombre sursauta, son hallucination disparut et au fond de la pièce apparut Phaera.
« Putain !Je t'ai déjà dit que c'était pas du pop-corn ! A quoi tu pense ? Tu veux mourir ou quoi ? Tssss viens te coucher ... »
Elle ne put réagir, elle était figer par la peur... Ses yeux se remplirent de larmes mais elles ne coulaientt pas... il ne faillait pas qu'elles coulent, il ne fallait pas pleurer... Pas devant sœur...
Phaera la saisit le bras et l'entoura autour de son épaule avant de l'aider à se relevé. Elle fit un sourire doux et chaleureux comme on en voit rarement de sa part, et l'emmena tranquillement dans sa chambre... Elle se coucha et déposa la tête de Daphné sur sa poitrine qui s'allongea également contre elle...
« Tu te souviens ? Quand on était petite ? Débuta Phaera.
-Oui tu me prenais toujours dans tes bras pour que je m'endorme... Parce que Rebecca me faisait peur avec ses histoires de loup...
-Haha …
-Disons que la seul différence, c'est qu'on gagne deux énormes avantages niveau confort »
Elles éclatèrent de rire... La peau de Phaera était si chaleureuse, si vivante et le battement de son cœur sonnait comme une symphonie dans les oreilles de l'elfe... Puis Phaera enlaça tendrement sa sœur et chantonna une berceuse elfe... Petit à petit, en douceur, Daphné oublia ce passage et se sentit transporter dans ses souvenirs d'enfance, ses tremblements stoppèrent, la température de son corps descendit... Enfin, tranquillement, elle sentit son corps s'alléger et ses muscles se relâcher pour finalement s'endormir avec cette mélodie dans la tête... Sans penser à autre chose...
(CS et avat' à venir)
